Chap.

 1      I|    lucarnes vitrées, et dont la porte basse s’ouvre sur la rue
 2      I|       se courbant alors sous la porte, entra tout rêveur, et salua
 3      I|         Et se dirigeant vers la porte à la grande satisfaction
 4     II|        reprenait sa besogne, la porte s’ouvrit et Catherine Lefèvre,
 5     II|      vieille, regardant vers la porte, sembla prêter l’oreille ;
 6     II|    vieux, pour l’enchaîner à la porte de mon château fort comme
 7     II|         vieillard enchaîné à sa porte. – Attendez que je me rappelle…
 8    III|      pierres de taille ; tout y porte le cachet militaire.~ ~ ~ ~
 9    III|      terre… Il est entré par la porte de France.~ ~ ~– Alors il
10    III|            Alors il vit ? il se porte bien ?~ ~ ~– Oui, mon bourgeois.
11    III|          Puis, se penchant à la porte de la cuisine :~ ~ ~« Grédel !…
12     IV|       allait répondre, quand la porte de la salle s’ouvrit, et
13     IV|      sont bonnes : le garçon se porte bien. Il en a vu de dures !…
14     IV|         le sien au-dessus de sa porte ; malheureusement la poudre
15     IV|       et se dirigeaient vers la porte. Depuis une demi-heure,
16     IV|         une seconde, referma sa porte.~ ~ ~ ~Je vous laisse à
17      V|       balayer le devant de leur porte, quelques bons vieux se
18      V|         laquelle n’avait qu’une porte d’entrée et deux lucarnes,
19      V|    lucarnes de la tanière et la porte entrouverte. Un gros tas
20      V|      Hullin se courbait sous la porte et pénétrait dans un caveau
21      V|    ouvrait une autre caverne, à porte irrégulière, plus large
22      V|       dos au feu, en face de la porte ouverte, où soufflaient
23      V|        l’abîme, passa devant la porte en poussant un cri rauque ;
24     VI|             Avant de pousser la porte criarde, l’idée lui vint
25     VI|  déposant son bâton derrière la porte et son chapeau sur la table,
26     VI|        suspendu au-dessus de la porte. Il le décrocha, puis il
27     VI|         il ouvrait doucement la porte, et suivait Marc Divès à
28     IX|       Louise s’élançant vers la porte, criait : « C’est lui !
29     IX|      clenche en frémissant ; la porte s’ouvrait, et un soldat
30     IX|      pousse en hiver jusqu’à la porte des étables. Il regardait
31     IX|        de la cuisine, et que la porte extérieure s’ouvrait, elle
32      X|                Le pâtre tira la porte de sa guérite aussi prompt
33    XII|     blanche, les fenêtres et la porte entourées d’une bordure
34    XII|       sortirai sur le pas de la porte et je lèverai mon chapeau,
35    XII|             Materne poussant la porte et voyant les femmes plus
36    XIV|     sourire. Au même instant la porte s’ouvrit, et l’une des sentinelles
37    XIV|         le banc de pierre, à sa porte, et un grand maigre lui
38    XVI|     rien faire !~ ~ ~– Ouvre la porte, Frantz, dit Materne, la
39    XVI|       Et Frantz ayant poussé la porte, ils virent sur une grande
40    XVI|       Ils arrivaient alors à la porte, et Hullin, apercevant Materne,
41   XVII|       enfin, tout en face de la porte, se trouvait la buanderie.~ ~ ~ ~
42   XVII|         Non, Louise, non, je me porte bien, je suis bien heureux !~ ~ ~–
43  XVIII|   détacher et s’avancer vers la porte.~ ~ ~ ~Et tandis que, pareils
44    XIX|    affaissées, stationnait à la porte d’un air harassé.~ ~ ~ ~
45     XX|       fit crier l’escalier ; la porte s’ouvrit, et Hullin parut
46     XX|        rien. » Nous poussons la porte et nous voyons la bagarre. «
47     XX|         bonne humeur. Devant la porte stationnait le fourgon de
48    XXI|         Duchêne avait poussé la porte en criant :~ ~ ~« C’est
49    XXI|     dételer le cheval ouvrit la porte en criant :~ ~ ~« La bataille
50    XXI|         ses larges épaules à la porte ; il ne montrait que son
51   XXII|       la ferme fut entourée, la porte ouverte. Deux minutes plus
52   XXIV|        armes. L’estime que vous porte le général en chef l’a seule
53   XXIV| provisions ; on en barricada la porte, et Jean-Claude décida que
54    Pas|          à la nuit, ferma notre porte au verrou, comme d’habitude,
55    Pas|         voilà qu’on frappe à la porte.~ ~ ~« Ils veulent entrer,
56    Pas|       en se penchant sous notre porte, et regardant à droite et
57    Pas|        bon !… Vous laisserez la porte ouverte… Les soldats sont
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