Chap.

 1      I| Falkenstein, détruit, il y a deux cents ans, par les Suédois. Ce
 2     II|           autour, à deux ou trois cents pas, vous plantiez vos palissades
 3    III|       faisaient des mines de cinq cents diables ; on ne pouvait
 4      V|     saillie sur le Valtin, à deux cents pieds dans les airs. Il
 5     XI| Jean-Claude lui-même et les trois cents hommes qui formaient sa
 6    XII|           trouvait environ à deux cents pas. Le coup partit, retentissant
 7   XIII|   Schwartz, – il pesait bien neuf cents ; j’en apporte le quartier
 8   XIII|           deux comme il y a seize cents ans, à la veille d’une grande
 9   XIII|       passage…~ ~ ~– Il y a seize cents ans ! dit Hullin ; diable,
10    XIV|          s’étendait environ à six cents mètres. La route effondrée
11    XIV|           ils aperçurent à quinze cents mètres au-dessous d’eux
12    XIV|         de munition.~ ~ ~ ~À deux cents pas des abatis, les Allemands
13     XV|           ce ravin, à cinq ou six cents mètres, s’avance une sorte
14     XV|         pas : il y avait bien six cents mètres ; aucun fusil ne
15     XV|           placer une balle à deux cents mètres aussi bien que vous ! »~ ~ ~
16     XV|     Bœuf-Rouge.~ ~ ~ ~Environ six cents hommes périrent en ce jour.
17   XVII|      nourriture de trois à quatre cents hommes, on l’avait transportée
18    XIX|           avoir vécu il y a seize cents ans.~ ~ ~– Qui sait ? dit
19    XIX|         sur le chapitre des seize cents ans, le brave homme ne dit
20     XX|          côté des abatis, à trois cents pas, on voyait les uniformes
21     XX|        lui. »~ ~ ~À deux ou trois cents pas plus loin, ils entrèrent
22     XX|        gorge, tout à coup, à deux cents pas en face d’eux, une figure
23     XX|          parler : à deux ou trois cents pas dans la vallée, tout
24     XX|          entends des cris du cinq cents diables : « Qu’est-ce que
25     XX|      tonnes d’eau-de-vie, à trois cents pas de là, au milieu de
26     XX|           nombre de deux ou trois cents.~ ~ ~« Ils arrivent, sauvons-nous !
27     XX|       maison forestière, à quinze cents mètres au-dessous ; puis
28    XXI|         Mais je n’avais que trois cents hommes contre quatre mille
29    XXI|       nous sommes réduits à trois cents hommes. Maintenant il s’
30  XXIII|         vagabonds, avec tes trois cents hommes ? Je te le demande
31  XXIII|      Personne. Et dans cent, deux cents, trois cents ans, d’autres
32  XXIII|           cent, deux cents, trois cents ans, d’autres peut-être
33    XXV|     contre le bois, deux ou trois cents hommes, rangés en ligne,
34    XXV|         Qu’est-ce que cinq ou six cents hommes peuvent faire contre
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