Chap.

 1      I|    inquiétude, car les fous, comme chacun sait, ont des idées d’un
 2    III|          ouvertes, à cette fin que chacun puisse y faire transporter
 3    III|             d’un moment à l’autre, chacun de nous peut recevoir son
 4      V|         prendre le frais là-haut : chacun son goût. »~ ~ ~Au même
 5     VI|        huit heures du matin.~ ~ ~ ~Chacun pensait que tout cela n’
 6    VII|         éloignés se rapprochèrent, chacun accourut. Une sorte de frisson
 7    VII|          on ne leur en voudra pas. Chacun est libre. »~ ~ ~Puis il
 8    VII|       homme va dépendre le sort de chacun. »~ ~ ~Ayant dit cela, Jean-Claude
 9   VIII|             Il est dix heures, que chacun retourne à son village et
10     IX|       attaques, de retranchements. Chacun se sentait animé d’une confiance
11     IX|          une confiance invincible, chacun se disait en lui-même : «
12    XII|          on leur servit du vin, et chacun se mit à raconter ce qu’
13    XII|        premier moment de surprise, chacun commençait à faire ses réflexions
14   XIII|         postes le long des abatis. Chacun connaissait d’avance la
15   XIII|           vieux ! Enfin n’importe, chacun son idée.~ ~ ~– Oui, reprit
16     XV|          ennemis qui montent ; que chacun fasse son devoir. »~ ~ ~
17     XX|            mais on ne disait rien, chacun songeait au Donon. Que se
18     XX|            terribles inspiraient à chacun des pensées sans fin, telles
19     XX|        ordinaire n’en a jamais. Et chacun se disait : " Qu’est-ce
20    XXI|       assistants à cette nouvelle. Chacun se prit à songer aux parents,
21    XXI|      pouvait y avoir aucun doute : chacun se doit à la patrie ; mais
22    XXI|           jusqu’au bout. Cependant chacun est libre de faire ce qu’
23    XXI|        longtemps, et que c’était à chacun son tour de traîner la semelle.
24   XXII|           commençait la voûte. Là, chacun respira plus librement.
25   XXII|     sentaient le besoin du repos ; chacun se hâtait d’appuyer son
26   XXIV|        allons réduire la ration de chacun à la moitié. Si, dans quinze
27   XXIV|         fut exécuté le jour même ; chacun reçut la demi-ration pour
28    XXV| chancelaient plus ; ils enlevaient chacun sa pierre et couraient la
29   XXVI|           fusil. Marc répondit que chacun était libre, mais que, pour
30   XXVI|       ferait périr. C’est pourquoi chacun ne reçut qu’un peu de pain,
31   XXVI|          ouvertes à deux battants. Chacun apportait ses présents aux
32   XXVI|        amoureux des oiseaux, comme chacun sait ; Divès, des paquets
33   XXVI|            frissonnaient tout bas. Chacun se sentait joyeux et attendri.
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