Chap.

 1    III|    quinze ou vingt charrettes de blessés, arrivant de Leipzig et
 2    III|        Alors on voyait plusieurs blessés se lever à demi avec de
 3    III|     sommes que huit ! dit un des blessés, fort calme en apparence,
 4    III|             Je viens de voir les blessés.~ ~ ~– Ah ! oui, les premières
 5    III|   hôpitaux… pour cinquante mille blessés ? Tous les hôpitaux, depuis
 6    III|      gelée blanche.~ ~ ~– Et les blessés sont restés sur le pavé
 7    III|       pour escorter ce convoi de blessés… vous comprenez, cela chauffe…
 8     IV|         siège, les charrettes de blessés sur la place d’armes, sa
 9     IV|          Jean-Claude en vint aux blessés, la brave femme murmura
10   VIII|          des vivres. Et puis les blessés seront plus près de chez
11    XIV| traînaient à terre des masses de blessés. La neige trépignée était
12     XV|       regardait les morts et les blessés épars sur la route, au bout
13     XV|         encombrés de morts et de blessés : – la masse des ennemis,
14     XV|    bientôt que fuyards, morts et blessés. Il était alors quatre heures
15    XVI|   hennissement grêle des chevaux blessés, tout cela montait en rumeurs
16    XVI|         la ferme.~ ~ ~ ~Tous les blessés, qui pendant le combat avaient
17    XVI|          à un autre ! » tous les blessés se remuaient de frayeur,
18    XVI| Allemands de faire enlever leurs blessés. Dans une heure ils arriveront
19   XVII|       voici le bouillon pour nos blessés ! Ah ! nous nous sommes
20   XVII|         impatience.~ ~ ~« Et nos blessés, docteur ? s’écria Hullin
21    XIX|        dans la chambre. Quelques blessés, dans la salle voisine,
22    XIX|      schlittes8 pour emmener les blessés, qui demandaient à grands
23     XX|    venait de charger deux hommes blessés sur le traîneau. Deux autres
24    XXI|      taire, ce fut de réunir mes blessés, ceux qui se traînaient
25   XXII|          malgré le spectacle des blessés de Hanau et de Leipzig,