Chap.

 1      I|     feuilles des bois… et votre sang coule comme l’eau des ruisseaux.
 2     II|        fromage, et ne buvant le sang qu’en automne, aux grandes
 3     II|        mer… nous qui buvions le sang toujours et n’aimions que
 4    III| reprenant le dessus, un flot de sang colora ses joues brunes.~ ~ ~«
 5     IV|        œil terne, une goutte de sang au bout du bec.~ ~ ~ ~Il
 6      X|      circulation plus rapide du sang, un état de fièvre continu ?
 7      X|       nom de Blutfeld (champ du sang). On y trouve des pots cassés,
 8      X|        rivière où coulait notre sang ! – C’est égal, Merveg,
 9   XIII|        garde, prends garde : le sang appelle le sang !… » ~ ~
10   XIII|      garde : le sang appelle le sang !… » ~ ~Puis d’un ton radouci :~ ~ ~«
11    XIV|        Tu ne répandras point le sang de tes frères ! »~ ~ ~Catherine
12    XIV|     baïonnette toute gluante de sang. Et le petit Riffi ne cessait
13    XIV|        trépignée était rouge de sang. Au milieu des morts entassés,
14     XV|     bout de longues traînées de sang, il y avait là de pauvres
15    XVI|    tenait une grosse éponge. Le sang clapotait dans le baquet,
16    XVI|     vous avez perdu beaucoup de sang, et si nous attendons encore,
17    XVI|      vides, quoique inondées de sang.~ ~ ~ ~Materne et Kasper
18    XVI|    Nicolas grinça des dents. Le sang jaillit. Despois liait quelque
19    XVI|       et de ses reins poilus le sang coulait jusque dans ses
20  XVIII|         bec, la terre a soif de sang : souvenez-vous du Blutfeld ! »~ ~ ~
21    XXI|        bleue étaient tachées de sang. Le vieux Materne, lui,
22    XXI|        nous avait coûté tant de sang, la route du Donon, le chemin
23   XXIV|      ses droits, et répandre le sang inutilement, c’est faire