Chap.

 1      I|         grands froids. Parfois on entendait courir de gros sabots sur
 2      I|   Coquelin, chaque fois qu’elle l’entendait gémir à ce sujet, pleurait
 3      V|        camisole de bure.~ ~ ~ ~Il entendait Louise marcher au-dessus
 4     IX|        chaîne ; à l’intérieur, on entendait le feu pétiller, tant le
 5     IX|           de la chance ! »~ ~ ~On entendait les voix lointaines des
 6   XIII|       vitres.~ ~ ~ ~Au dehors, on entendait le « qui vive ? » des sentinelles,
 7   XIII|  cinquante pas du dernier feu, on entendait hennir des chevaux et des
 8    XIV|  continuer leur feu, mais on ne l’entendait plus. Toute la côte s’enveloppait
 9    XIV|        Au-dessous de la rampe, on entendait des cris affreux, et quand
10     XV|  trépignements, du tumulte : on n’entendait pas autre chose.~ ~ ~ ~Les
11   XVII|                Maître Jean-Claude entendait la voix fraîche de Louise
12  XVIII|           À chaque détonation, on entendait les cimes du Hengst, de
13    XIX|     ardeurs de la fièvre ; on les entendait appeler leurs femmes et
14     XX|        Hullin, sèche, vibrante, s’entendait donnant des ordres.~ ~ ~ ~
15     XX|            cria Materne.~ ~ ~ ~On entendait aussi les hennissements
16     XX| sanglotant.~ ~ ~ ~Au dehors, on n’entendait que des sifflements, des
17     XX|        quelques instants après on entendait la détonation rouler dans
18     XX|           était si profond, qu’on entendait chaque pas du cheval dans
19     XX|           secondes après, on ne s’entendait plus ; les lances froissaient
20    XXV|          ardeurs de la fièvre, il entendait au loin, bien loin dans
21    XXV|        milieu d’un incendie. – On entendait à deux mille pieds au-dessous,
22    Pas|        sommes perdus !… » ~ ~On n’entendait que cela ; tout le monde
23    Pas|      trouvait tout bien.~ ~ ~ ~On entendait dehors les pas innombrables