Chap.

 1     II|     pots sur l’étagère ; moi, j’avais approché mon rouet du feu
 2     II|    souvenir comme d’un songe… J’avais laissé tomber ma quenouille,
 3     II|         le brave homme. Si je l’avais entendu, je lui aurais ri
 4      V|    vieille fouine ; car si tu n’avais pas peur d’être pendue le
 5      V|         jour sur la roche, et j’avais vu sortir souvent de là
 6      V|        temps-là, Jean-Claude, j’avais douze ans. Je pensai tout
 7      V|       du matin au soir.~ ~ ~ ~J’avais fait la connaissance de
 8    VII|    moment.~ ~ ~« Voilà ce que j’avais à vous dire ! cria Hullin
 9   VIII|    provisoirement tout ce que j’avais à vous dire. Les chefs de
10     IX|       crève le cœur… Ah ! si tu avais un peu de couragemaintenant
11    XII|        de la race tartare, si j’avais le temps, je le ferais mitonner
12     XV|  hurla-t-il. Est-ce que je ne t’avais pas recommandé de surveiller
13    XVI|      cinq écus de six livres. J’avais ménagé cela… si nous tombions
14   XVII| courageuse ; mais, voyez-vous j’avais bien peur. Je pensais :
15    XIX|         de la route, comme je l’avais prévu. »~ ~ ~Cette assurance
16    XIX|     heure, Frantz Materne que j’avais envoyé en reconnaissance,
17    XIX|    pouvions pas être battus : j’avais déjà vu ça dans le temps !…
18    XXI|       chemin de Paris ? Si je l’avais fait, est-ce que je n’aurais
19    XXI|        un misérable ? Mais je n’avais que trois cents hommes contre
20    XXI|     commencement de l’action, j’avais fait prévenir Piorette.
21    Pas|  Madeleine. Huit jours avant, j’avais eu le malheur de me casser
22    Pas|     devenais tout pâle.~ ~ ~ ~J’avais aussi reconnu les trois
23    Pas|         nous voulaient, comme j’avais entendu dire bien des fois
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