Chap.

 1     II|           ne donnait plus signe de vie, tantôt à la campagne, qui
 2    III|            assez de sabots dans ma vie, et puisque l’occasion se
 3     IV|           n’avait rien à faire, la vie serait bien ennuyeuse !~ ~ ~–
 4      V|             Ce calme profond de la vie, en présence des pensées
 5      V|          que j’aie jamais vu de ma vie ! – Je bois à sa santé !
 6     VI|            pas, se représentant la vie des camps, le bivac, la
 7     VI|     ralentit le pas, songeant à la vie calme, paisible, qu’il abandonnait
 8     IX|            fois plus que ma propre vie ; mais un Lefèvre ne connaît
 9      X| concentration plus puissante de la vie, une circulation plus rapide
10    XII|       avons pourtant qu’une pauvre vie à perdre ! Allons-nous-en. »~ ~ ~
11    XVI|          ai assez souffert dans ma vie.~ ~ ~– Comme vous voudrez.
12   XVII|           plus beau moment dans sa vie.~ ~ ~« Comme elle fait marcher
13   XVII|           autres se présentent. La vie humaine ressemble à la mer
14  XVIII|      guerriers pour leur rendre la vie, toi qui n’as jamais rempli
15     XX|            sans fin, telles que la vie ordinaire n’en a jamais.
16    XXI|            ai souffert ! Perdre la vie, ce n’est rien ; mais porter
17    XXI|           devoir. Je me dis : « La vie n’est rien sans l’honneur…
18    XXV|           avait pas donné signe de vie. Combien de fois, durant
19    XXV|           ne donnait plus signe de vie ; Kasper et Frantz conservaient
20    XXV|           Était-ce l’espérance, la vie, l’âme ? Je ne sais, mais
21    XXV|       fantômes, comme animés d’une vie nouvelle, se précipitaient
22    Pas|           de ces leçons, et que la vie n’est pas assez longue pour
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