Chap.

 1      I| conscription de cette année, un beau garçon fiancé à Louise,
 2     II|      aimions que la bataille un beau matin nous sommes arrivés
 3    III|       le 18 octobre dernier, au beau milieu de la bataille, nos
 4     IV|     être vendu au marché, et un beau coq de bruyère moiré de
 5     IV|            Je comprends ; c’est beau ce que vous faites là, Catherine.~ ~ ~–
 6     IV|    Catherine.~ ~ ~– Bah ! c’est beau… c’est beau ! répliqua la
 7     IV|         Bah ! c’est beau… c’est beau ! répliqua la vieille, c’
 8      V|     plus en plus.~ ~ ~ ~Rien de beau comme ces montagnes boisées,
 9      V|  kaiserlicks n’auront pas aussi beau jeu contre nous que je le
10     IX|    Lefèvre. Vers midi, comme un beau rayon de soleil d’hiver
11     IX|    connais l’amour : c’est très beau et c’est très mauvais ;
12     XI|      kaiserlicks n’auraient pas beau jeu contre de pareils gaillards.~ ~ ~ ~
13    XII|         le temps s’était mis au beau : le pâle soleil d’hiver
14    XII|     route, s’écria :~ ~ ~« J’ai beau regarder, je ne vois rien.~ ~ ~–
15   XIII|      pour ce que vous faites de beau et de bien.~ ~ ~– Hullin,
16   XIII|    matin.~ ~ ~– Catherine, j’ai beau vous connaître, s’écria
17   XVII|         avait jamais eu de plus beau moment dans sa vie.~ ~ ~«
18     XX|      disait la fermière ; c’est beau, c’est bien. Jean-Claude,
19     XX| rencontre.~ ~ ~« Ah ! vous avez beau pleurer, Louise, dit Lorquin,
20   XXIV|  traîtres n’auront pas toujours beau jeu : malheur à vous ! »~ ~ ~
21   XXVI|      semblaient morts. On avait beau les secouer, leur crier
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