Chap.

 1    III|    était abattu à portée de canon. Quelques pauvres diables
 2   VIII|     une route praticable au canon : c’est la route de Strasbourg
 3     XI|    Labarbe dit que c’est le canon, car toute la nuit on voyait
 4     XI|     et mettaient au bout du canon la baïonnette du sanglier
 5    XII|     passé, la nuit, sous le canon de Bitsch, il avait dû stationner
 6    XII|      la main appuyée sur le canon de sa carabine, semblait
 7     XV|    était le premier coup de canon : il avait coupé les jambes
 8    XVI| chamade ; sans les coups de canon de la fin, ma foi, ça prenait
 9    XVI|      mais sans les coups de canon du commencement, nous n’
10   XVII| tout ce bruit, ces coups de canon !… mais ensuite, je n’ai
11  XVIII|    sait. Au dernier coup de canon il avait disparu. Où s’était-il
12    XIX|     et même au moment où le canon tonnait contre nous, je
13    Pas|  remplissent l’Alsace !… Le canon tire de tous les côtés…
14    Pas|  matin. Alors deux coups de canon partirent dans le silence,
15    Pas|    quelques heures, sous le canon d’une forteresse qui aurait
16    Pas|           Tous ces coups de canon ou rien, c’était la même