Chap.

 1      I|           Il y pensait souvent, et parfois, le soir, après le travail,
 2      I|            sa nature et lui disait parfois en riant :~ ~ ~« Ma pauvre
 3      I|        approche des grands froids. Parfois on entendait courir de gros
 4    XII|             où viennent s’abreuver parfois les chevreuils. Tout à coup,
 5    XIV| sifflements bizarres, et passaient parfois comme des volées de pigeons.~ ~ ~ ~
 6     XX|          Frantz Materne s’arrêtait parfois, promenant un coup d’œil
 7    XXV|         dans une rêverie sans fin. Parfois, ils se regardaient les
 8    XXV|    alentour, sans rien dire.~ ~ ~ ~Parfois il s’avançait jusqu’au bord
 9    XXV|       clameurs, des commandements. Parfois le cri du montagnard qui
10    XXV|            digne. Il se retournait parfois d’un air sombre pour regarder
11    XXV|            de la Sarre, s’arrêtant parfois, comme un sanglier blessé
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