Chap.

  1      I|             par les Suédois. Ce n’est plus qu’un amas de décombres
  2      I|             fille, et ne se souvenait plus qu’elle était d’une race
  3      I|          assez, et ça ne les rend pas plus belles ; mais des femmes
  4      I|           depuis deux mois on n’avait plus de ses nouvelles.~ ~ ~ ~
  5      I|                s’avançait, dis-je, le plus étrange personnage qui soit
  6      I|                Ce fou-là, d’ailleurs, plus que tous les autres, avait
  7      I|       Retirez-vous… ne m’assourdissez plus… ou je déchaîne contre vous
  8      I|           distinguant cinq ou six des plus acharnés, il les prévint
  9      I|            Nous vous avons chargé les plus grosses pierres sur le dos,
 10      I|             passé. Mes guerriers sont plus nombreux que les feuilles
 11      I|         connais, je te connais depuis plus de mille ans !~ ~ ~– Bah !
 12      I|             tête… et vous ne remuerez plus… vous serez bien tranquilles…
 13      I|            cette fille en mariage… la plus belle de mes États… Donne-la-moi
 14      I|             fit-il. Je la destine aux plus grands honneursRéjouis-toi,
 15      I|                Eh bien ! la folie est plus forte que le froid et la
 16      I|           bizarres, quoiqu’il n’y eût plus personne autour de lui.
 17     II|        bûcheron ; il ne songeait déjà plus au fou Yégof ; son marteau
 18     II|               Gaspard, qui ne donnait plus signe de vie, tantôt à la
 19     II|               murmura le sabotier, de plus en plus étonné, car il n’
 20     II|               le sabotier, de plus en plus étonné, car il n’avait jamais
 21     II|               l’étrangler ; mais lui, plus fort qu’on ne pense, le
 22     II|              n’ai jamais vu de figure plus épouvantable que celle de
 23     II|             dérangent… Vous ne dormez plus… et ce qu’un pauvre fou
 24     II|          raison… Ce qui m’inquiète le plus, c’est de ne recevoir aucune
 25    III|          ville rasé comme un ponton : plus un jardin, plus un verger,
 26    III|              ponton : plus un jardin, plus un verger, plus une promenade,
 27    III|               jardin, plus un verger, plus une promenade, plus un arbre,
 28    III|           verger, plus une promenade, plus un arbre, plus une broussaille ;
 29    III|             promenade, plus un arbre, plus une broussaille ; tout était
 30    III|      portaient en ville. On ne voyait plus rien à l’horizon que le
 31    III|           gravir ; ils n’en pouvaient plus. « Hue ! de l’ensemble,
 32    III|          Hullin, tout réjoui, n’était plus le même homme : ses instincts
 33    III|          étincelait, son cœur battait plus vite, et déjà des idées
 34    III|            mitraille, s’affaissait de plus en plus, puis se relevait
 35    III|               s’affaissait de plus en plus, puis se relevait par sursaut
 36    III|              supporter leur sort avec plus de fermeté que les colosses.
 37    III|           quelques-uns seulement, les plus jeunes, demandaient d’un
 38    III|         aubergiste Wittmann, en face, plus pâle que la mort. Wittmann
 39    III|              écria-t-il, vous arrivez plus tôt qu’à l’ordinaire : je
 40    III|            autres, vous n’y penseriez plus !~ ~ ~– Une chopine de vin,
 41    III|               voyez-vous, Hullin, tue plus de monde que le boulet.
 42    III|              les portes, il n’entrera plus personne. J’ai perdu pour
 43    III|            faut les écraser. – Enfin, plus on en tue, plus il en repousse ! –
 44    III|                Enfin, plus on en tue, plus il en repousse ! – Nous
 45    III|               mais les hommes. Depuis plus de vingt ans qu’on nous
 46    III|             entrant ; il ne se tenait plus sur ses jambes. C’est drôle,
 47     IV|        Bois-de-Chênes. On ne songeait plus au récit bizarre de Yégof,
 48     IV|           depuis deux mois, ne vivait plus. Hullin se garda bien de
 49      V|               limites s’étendaient de plus en plus.~ ~ ~ ~Rien de beau
 50      V|               s’étendaient de plus en plus.~ ~ ~ ~Rien de beau comme
 51      V|           étroit passage, entouré des plus hautes cimes des sapins
 52      V|         caverne, à porte irrégulière, plus large du haut que du bas,
 53      V|             la carabine pour en finir plus vite ; c’est à lui qu’on
 54      V|               là-bas, l’Oxenstein, le plus grand que j’aie jamais vu
 55      V|               bien ! regarde : il y a plus d’hommes là-bas que d’oiseaux
 56      V|             et que je me fie beaucoup plus à lui qu’à toi, vieille
 57      V|             je pouvais tourner un peu plus loin que la brèche, je les
 58      V|              pas encore à quoi… mais, plus tard, quand j’eus fait mes
 59      V|            pas aller demeurer dans la plus belle maison de Strasbourg,
 60      V|            réponds, moi, que c’est le plus grand plaisir du monde.
 61      V|              scintillantes de givre ; plus haut, on apercevait la crête
 62      V|               regardait ainsi dans le plus profond silence, voilà qu’
 63      V|               te félicite, tu montres plus de bon sens que je ne t’
 64      V|            Suisse. Dans huit jours au plus tard, le reste de nos munitions
 65     VI|           Jésus-Marie-Joseph ! » – le plus grand nombre songeait au
 66     VI|              sa tristesse en devenait plus grande.~ ~ ~ ~En passant
 67     VI|             montagnards n’attendaient plus que le signal.~ ~ ~ ~Un
 68     VI|         Lefèvre a dit oui… Serez-vous plus méchant qu’elle ? Ah ! si
 69     VI|           regarda tout émerveillé ses plus chauds habits, ses gilets
 70     VI|          village à la Suisse, et bien plus loin encore. Ah ! maître
 71     VI|             heure du départ. Elle n’a plus qu’une pensée, plus qu’un
 72     VI|               n’a plus qu’une pensée, plus qu’un soupir, un cri : «
 73    VII|          serrant comme une muraille ; plus loin, le long des bois,
 74    VII|         Saint-Quirin. »~ ~ ~En effet, plus le jour grandissait, plus
 75    VII|             plus le jour grandissait, plus on découvrait de gens accourant
 76    VII|              calleuses. Quelques-uns, plus hauts de taille, appartenaient
 77    VII|             Je n’ai jamais vu de nuit plus douce pour la saison ; c’
 78    VII|                nous voilà, ne perdons plus de temps ; Lagarmitte, souffle
 79    VII|         profonds, il dit au milieu du plus grand silence :~ ~ ~« L’
 80    VII|               est pourquoi d’une voix plus ferme il finit ainsi : «
 81    VII|         impatience. Enfin, n’y tenant plus, elle se leva sur son siège
 82   VIII|         solidement, dans l’endroit le plus favorable à la défense,
 83   VIII|               soir ou après-demain au plus tard, je m’en charge ; mais
 84   VIII|           parmi ceux des villages les plus voisins. Il ne faut pas
 85   VIII|               puis les blessés seront plus près de chez eux, ce qu’
 86   VIII|                comme il faut aller au plus pressé, nous parlerons de
 87   VIII|           position, et qu’il n’y aura plus de surprise à craindre de
 88   VIII|           balle se présente, je serai plus libre.~ ~ ~– Voilà donc
 89   VIII|           provisions. Demain matin au plus tard, il faut que tous les
 90   VIII|              la Sarre de se réunir le plus tôt possible près de la
 91   VIII|           Lefèvre n’avait jamais paru plus heureuse ; en remontant
 92   VIII|               Lorquin reprit d’un ton plus grave :~ ~ ~« Hullin, il
 93     IX|                      On était dans le plus grand feu de la cuisine ;
 94     IX|               pouvoir faire un pas de plus, et posa lentement la crosse
 95     IX|                       Puis d’une voix plus haute :~ ~ ~« Louise ! dit-il,
 96     IX|       recommencèrent, mais cette fois plus joyeuses, avec des éclats
 97     IX|             main qui n’en finissaient plus.~ ~ ~« Ah ! docteur, c’est
 98     IX|              asseyons-nous ; on cause plus à l’aise. Ah ça ! pourquoi
 99     IX|       camarades ne me reconnaîtraient plus à la compagnie. »~ ~ ~Tout
100     IX|                 il ne t’en faudra pas plus de six pour arriver, quoiqu’
101     IX|               à les ranimer. Gaspard, plus ferme qu’il ne l’avait cru
102     IX|        Lefèvre ; je t’aime mille fois plus que ma propre vie ; mais
103     IX| embrassons-nous ! Regarde, je ne suis plus la même ; je veux être comme
104      X|          frappée dans ce qu’elle a de plus noble, de plus grand, de
105      X|              elle a de plus noble, de plus grand, de plus vital : l’
106      X|              noble, de plus grand, de plus vital : l’intelligence ! –
107      X|             résiste aux atteintes les plus âpres de la température,
108      X|              Est-ce une concentration plus puissante de la vie, une
109      X|               la vie, une circulation plus rapide du sang, un état
110      X|  Bois-de-Chênes devait être témoin du plus étrange et du plus épouvantable
111      X|          témoin du plus étrange et du plus épouvantable spectacle.~ ~ ~ ~
112      X|              à laquelle il ne pensait plus.~ ~ ~ ~Mais qu’on juge de
113      X|          pâtres de la montagne ont la plus grande vénération.~ ~ ~ ~
114      X|                    À la fin, l’un, le plus vieux, se tut, puis un autre,
115      X|              personnes attentives. Le plus grand se mit à hurler, et
116      X|            Ces plaintes devenaient de plus en plus navrantes, et le
117      X|        plaintes devenaient de plus en plus navrantes, et le silence
118      X|         funèbre cortège se trouvaient plus loin de lui, et s’éloignaient
119      X|             complètement cessé depuis plus de vingt minutes, et le
120      X|                et, même dans l’âge le plus avancé, le brave homme ne
121     XI|              dans une gorge étroite ; plus loin, au tournant de la
122     XI|                       Nous ne pouvons plus rester dans l’incertitude,
123     XI|                Materne, et ce sera le plus simple, car un homme désarmé,
124     XI|             prudence ! Un Allemand de plus ou de moins sur cent mille
125    XII|             aubergiste Dubreuil, – le plus gros et le plus apoplectique
126    XII|        Dubreuil, – le plus gros et le plus apoplectique des cabaretiers
127    XII|          Dubreuil, ni mes garçons non plus ; expliquez-nous seulement
128    XII|            précipitamment, n’y tenant plus de rage.~ ~ ~« Réfléchissez
129    XII|          allons… nous retrouverons ça plus tard ! Me conseiller, à
130    XII|           halte, et Materne, d’un ton plus calme, leur montrant le
131    XII|          pauvres bêtes n’en pouvaient plus.~ ~ ~« Où diable courez-vous
132    XII|            riait dans sa barbe.~ ~ ~ ~Plus Materne avançait, plus le
133    XII|                Plus Materne avançait, plus le nombre des troupeaux
134    XII|         devenait grand ; il n’y avait plus seulement des troupeaux
135    XII|             les voitures pour voir de plus loin. On n’avait jamais
136    XII|            autres. On ne se possédait plus, on hurlait, on frappait
137    XII|            porte et voyant les femmes plus mortes que vives, pâles,
138    XII|              livres, vous le cacherez plus facilement que vos tonneaux. »~ ~ ~
139    XII|           troupeaux et n’en pouvaient plus à force de crier.~ ~ ~ ~
140    XII|                il avait  stationner plus d’une heure sur la glace,
141    XII|       allaient partir, lorsqu’un cri, plus grand, plus prolongé que
142    XII|            lorsqu’un cri, plus grand, plus prolongé que les autres,
143    XII|           peur de tout ce monde donne plus de force à l’ennemi qu’il
144    XII|               qu’il fallait monter le plus haut possible, afin de découvrir
145    XII|          lignes noires sur la neige ; plus loin, quelques masses sombres,
146    XII|             demain ou après-demain au plus tard. Ce ne sera pas une
147    XII|               et calme. Ils n’avaient plus qu’à descendre et à remonter
148    XII|              de ce côté pour jouir du plus étrange spectacle : une
149    XII|            rapide, que Materne répéta plus de cent fois. « Le cheval
150    XII|             échine de chèvre, passait plus facilement qu’eux ; c’est
151   XIII|              celles de la bise.~ ~ ~ ~Plus d’un montagnard alors se
152   XIII|                    Pluton ne grondait plus au pas lourd de ces hommes.
153   XIII|                   que ceux qui en ont plus de vingt en donnent à leurs
154   XIII|       immobiles autour du tombereau ; plus loin, Catherine Lefèvre
155   XIII|              se rapprochait du feu le plus voisin, quelle ne fut pas
156   XIII|                Nous causerons de cela plus tard.~ ~ ~– Tu me refuses !~ ~ ~–
157    XIV|              qu’elle avait peur de ne plus le revoir ; ses yeux rouges
158    XIV|               nous ferez des discours plus tard sur la paix éternelle.
159    XIV|              de larmes. Elle semblait plus morte que vive.~ ~ ~« Et
160    XIV|        pressez pas, et ne montrez pas plus de chair qu’il ne faut.~ ~ ~–
161    XIV|          Jean-Claude. »~ ~ ~Il allait plus loin ; partout on le recevait
162    XIV|                     Hullin n’écoutait plus, car, jetant par hasard
163    XIV|               déboucher sur la route. Plus loin, dans la rue, s’avançait
164    XIV|           dans la neige pour ajuster. Plus haut, il reconnut aussi
165    XIV|                  Pour dire la vérité, plus d’un brave montagnard, père
166    XIV|                mais on ne l’entendait plus. Toute la côte s’enveloppait
167    XIV|               À lui seul, il renversa plus de dix de ces enfants de
168    XIV|           lentement en retraite, puis plus vite. Les officiers, derrière
169    XIV|            malheureux ; au contraire, plus ils en voyaient, plus ils
170    XIV|      contraire, plus ils en voyaient, plus ils étaient réjouis.~ ~ ~ ~
171    XIV|        massacré ; seulement une heure plus tard, on le vit passer dans
172     XV|       montagnards ne se connaissaient plus d’enthousiasme ; ils levaient
173     XV|        village dont je ne me rappelle plus le nom. Des montagnards
174     XV|     au-dessous, ne semblaient pas non plus de bonne humeur : on aurait
175     XV|               Ne pouvais-tu m’avertir plus tôt ? hurla-t-il. Est-ce
176     XV|              écharpe, couper la route plus loin ! tout est au diable ! »~ ~ ~
177     XV|            nouvelle colonne, beaucoup plus forte que la première, sortait
178     XV|        Jean-Claude.~ ~ ~ ~Et d’un ton plus calme :~ ~ ~« Écoute, Marc,
179     XV|              ne diront pas qu’ils ont plus de cœur que ceux de la Sarre.
180     XV|               et le combat recommença plus terrible, plus désespéré
181     XV|             recommença plus terrible, plus désespéré que la première
182     XV|         vibrante :~ ~ ~« Allons donc… plus vite !… de ce train-là vous
183     XV|         tremblait. Les Allemands, pas plus que les partisans, ne faisaient
184     XV|               leurs armes pour courir plus vite, l’acharnement des
185     XV|               des kaiserlicks en bien plus grand nombre. Mais, sans
186    XVI|             en aller… puisque je n’ai plus de jambes. »~ ~ ~Tous trois
187    XVI|              l’autre… Moi, je n’en ai plus besoin…~ ~ ~– C’est-à-dire,
188    XVI|              pas la peine, je n’en ai plus pour une heure ; on me ferait
189    XVI|               le baquet, Colard était plus pâle que la mort. Catherine
190    XVI|             os est broyé, ça ne tient plus. Allumez la pipe, Despois.
191    XVI|                     Nicolas ne fumait plus ; la pipe était tombée de
192    XVI|              yeux de ceux qui, un peu plus tôt, un peu plus tard, devaient
193    XVI|               un peu plus tôt, un peu plus tard, devaient avoir leur
194   XVII|               petite jupe pour courir plus vite, la figure enluminée
195   XVII|               la figure enluminée des plus vives couleurs, et le sein
196   XVII|              formaient avec Louise le plus étrange contraste.~ ~ ~ ~
197   XVII|             le monde, il faut marcher plus vite.~ ~ ~– Oui, oui, il
198   XVII|            Vous, Lesselé, qui êtes la plus grande, décrochez-moi ce
199   XVII|           Hullin n’avait jamais eu de plus beau moment dans sa vie.~ ~ ~«
200   XVII|                 mais ensuite, je n’ai plus pensé qu’à vous et à maman
201  XVIII|          réjouissaient à l’idée de ne plus le revoir. Cependant, depuis
202  XVIII|          venait sur la côte, toujours plus inquiète et plus irritée.
203  XVIII|             toujours plus inquiète et plus irritée. Durant cette journée
204  XVIII|               vers la nuit, des coups plus graves, plus formidables
205  XVIII|                des coups plus graves, plus formidables encore, retentirent
206  XVIII|               assoupir. On n’entendit plus qu’à de longs intervalles
207  XVIII|             source chaude bouillonner plus que d’habitude, et des flots
208  XVIII|             on sanglote ; Wetterhexe, plus morte que vive, observait
209  XVIII|           observait le fou du coin le plus obscur de l’antre.~ ~ ~«
210  XVIII|            tous, tous ! Il n’en reste plus. Ils vont ranimer le courage
211    XIX|         depuis ce moment ; je ne vois plus rien !… Seulement je sens
212    XIX|             est défendue ; nous avons plus de monde qu’il ne nous en
213    XIX|                de penser à des choses plus gaies. Tous ces rêves, voyez-vous,
214    XIX|            ans, le brave homme ne dit plus rien, et reprit sa promenade
215    XIX|           hirondelle, en criant de sa plus douce voix :~ ~ ~« Maman
216    XIX|           boulets rouges nous font le plus de mal : ils brûlent les
217    XIX|            les gueux étaient dix fois plus nombreux que nous, et ils
218     XX|             enfant, moi, je n’en puis plus ; je vais m’en donner ! »~ ~ ~
219     XX|              tout cela s’affaiblit de plus en plus, et bientôt, à la
220     XX|           cela s’affaiblit de plus en plus, et bientôt, à la descente
221     XX|      Saint-Quirin, dit Frantz, est le plus court pour aller à la ferme
222     XX|             Blanru, dit Frantz, c’est plus long, mais c’est plus sûr. »~ ~ ~
223     XX|             est plus long, mais c’est plus sûr. »~ ~ ~Le traîneau descendit
224     XX|      Catherine, il nous est arrivé le plus grand des malheurs. Il ne
225     XX|               deux ou trois cents pas plus loin, ils entrèrent dans
226     XX|             chêne.~ ~ ~« Nous n’avons plus qu’une heure de chemin,
227     XX|                   Oui, dit Frantz, le plus gros est fait, et nous pouvons
228     XX|               pâle du ciel, on ne vit plus alors que s’agiter des banderoles
229     XX|          broussailles : il y en avait plus de trente.~ ~ ~ ~Qu’on juge
230     XX|              après, on ne s’entendait plus ; les lances froissaient
231     XX|            imprécations, on ne voyait plus sous l’ombre du grand chêne,
232     XX|           subir son sort !… Ainsi les plus fermes caractères se sentent
233     XX|               prairie… Elle voyait la plus haute lucarne de la maison
234     XX|               jeune fille ne conserva plus aucun doute : on ferraillait
235     XX|             crois bien : il n’y a pas plus de dix minutes, j’arrive
236     XX|             un coup ni les autres non plus ; ça leur remettra le cœur
237     XX|        vivons-nous !~ ~ ~ ~On ne peut plus suivre les grands chemins
238     XX|          pourvu que la chose arrive ! Plus j’aurai attendu, plus j’
239     XX|                 Plus j’aurai attendu, plus j’aurai d’appétit : les
240    XXI|               beaucoup qui ne verront plus les leurs !~ ~ ~– Frantz,
241    XXI|             Niclau ! Saphéri ! » mais plus d’un ne répondit pas.~ ~ ~ ~
242    XXI|                nous causerons de cela plus tard… le temps presse, dit
243    XXI|                Hullin ajouta d’un ton plus calme :~ ~ ~« Entre onze
244    XXI|               écrasé ; Jérôme ne peut plus tenir ! » Et puis il ne
245    XXI|           tenir ! » Et puis il ne dit plus rien. Que faire ?… Est-ce
246    XXI|                Alors Hullin, d’un ton plus ferme, exposa son plan :~ ~ ~«
247   XXII|           porte ouverte. Deux minutes plus tard, les vitres volaient
248   XXII|             venger toute seule. »~ ~ ~Plus on montait, plus l’air devenait
249   XXII|                      Plus on montait, plus l’air devenait vif. Louise,
250   XXII|         disait : « Je n’ai jamais été plus heureuse, je n’ai jamais
251   XXII|           ciel leur paraissait encore plus profond, le sentier creusé
252   XXII|          creusé en volute dans le roc plus étroit. Les vallées à perte
253   XXII|             voûte. Là, chacun respira plus librement. On vit, au milieu
254   XXII|          reçut cette nouvelle avec le plus grand calme, et s’avança
255   XXII|          tutoyaient.~ ~ ~« Ni moi non plus, répondit la vieille fermière ;
256  XXIII|          trempé par la pluie, donnait plus de fumée que de flamme,
257  XXIII|            Divès, voyant cela, devint plus rêveur. « S’ils nous entourent,
258  XXIII|          pensait-il, nous ne pourrons plus nous procurer de vivres ;
259  XXIII|              enfants formaient cercle plus loin, d’un air d’extase,
260  XXIII|        Catherine Lefèvre, et toi, mon plus vieil ami !… Si je ne reviens
261  XXIII|             maintenant : nous n’avons plus de ressource qu’en toi. »~ ~ ~
262  XXIII|          pareil moment ; n’en parlons plus jamais !… Je laisserai ma
263  XXIII|            Triboques. Les murs-là ont plus de deux mille ans. Il a
264   XXIV|          spectacle immense, se sentit plus calme, plus tranquille que
265   XXIV|        immense, se sentit plus calme, plus tranquille que dans le sommeil
266   XXIV|              plaintes ne comptent pas plus que le soupir de la cigale
267   XXIV|               l’avenir ne lui faisait plus peur ; les pensées pour
268   XXIV|             arrive pas, nous n’aurons plus rien… alors nous verrons ! »~ ~ ~
269   XXIV|               broussailles pour aller plus vite.~ ~ ~« Eh bien, lui
270   XXIV|            deux portées de carabine ; plus loin stationnaient cinq
271   XXIV|         groupe. Catherine Lefèvre, la plus avancée, fronçait les sourcils ; –
272   XXIV|               Hullin, il n’y a pas de plus ou de moins ; nous avons
273   XXIV|            ils nous estimeront encore plus dans huit ou quinze jours,
274   XXIV|             dans les inspirations les plus regrettables. D’ailleurs,
275   XXIV|            acte de vandalisme, et, de plus, il a décide qu’une indemnité
276   XXIV|            conditions honorables. Une plus longue résistance n’aboutirait
277   XXIV|               comme elle s’animait de plus en plus, le parlementaire
278   XXIV|             elle s’animait de plus en plus, le parlementaire jugea
279   XXIV|        préserver les malheureux de la plus horrible famine.~ ~ ~ ~
280    XXV|         Falkenstein. Ils ne parlaient plus ; accroupis à terre, la
281    XXV|             objets réels, ne voyaient plus que des ombres voltiger
282    XXV|               reins, et le serrait de plus en plus, prétendant satisfaire
283    XXV|              et le serrait de plus en plus, prétendant satisfaire ainsi
284    XXV|            profond. Louise ne donnait plus signe de vie ; Kasper et
285    XXV|             bruyères. Elle ne parlait plus ce soir-là, Hullin, Jérôme,
286    XXV|          émotion, s’écria d’un accent plus ferme :~ ~ ~« Jérôme, Catherine,
287    XXV|          dernier n’aurait pas produit plus d’effet sur les assiégés ;
288    XXV|      sanglotaient, mais ils n’avaient plus de larmes. Une seconde détonation
289    XXV|               des assiégés ; d’autant plus que les Allemands, sept
290    XXV|           crécelle qui n’en finissait plus.~ ~ ~ ~Et tous les autres,
291    XXV|              avait jamais vu de scène plus terrible. Ces êtres, aux
292    XXV|          carnage. Ils ne trébuchaient plus, ils ne chancelaient plus ;
293    XXV|             plus, ils ne chancelaient plus ; ils enlevaient chacun
294    XXV|      pétrifiés ; mais levant les yeux plus haut et voyant d’autres
295    XXV|               mort horrible.~ ~ ~ ~Au plus fort de la déroute, le général
296   XXVI|            lorsqu’on les vit revenir, plus maigres que Lazarus debout
297   XXVI|          Divès fut obligé de raconter plus de vingt fois l’histoire
298   XXVI|            ces gueux de Cosaques sont plus fins que les douaniers :
299   XXVI|             Lorraine : on n’en voyait plus en Alsace qu’autour des
300   XXVI|           fils, un coq de bruyère, le plus amoureux des oiseaux, comme
301   XXVI|           vieux chant patriotique, le plus grand, le plus noble que
302   XXVI|        patriotique, le plus grand, le plus noble que l’homme ait jamais
303   XXVI|               On n’avait jamais vu de plus belle nuit : des étoiles
304    Pas|             parce qu’ils ne voulaient plus de nos rois, de nos princes,
305    Pas|              du courage au milieu des plus grandes souffrances et que
306    Pas|               ou six ans ne remuaient plus derrière leur âtre, et qui
307    Pas|              victoires, nous n’avions plus de monde, et le peuple qu’
308    Pas|             on peut regarder comme le plus brave de l’univers était
309    Pas|           Mais je ne veux pas en dire plus… Oublions ce que nous avons
310    Pas|             chez nos voisins dans les plus terribles inquiétudes, cela
311    Pas|              Ils étaient là peut-être plus de vingt mille, qui défilaient
312    Pas|   encombrement au bout du village, ou plus loin au bois de hêtres,
313    Pas|                nous ne sommes pas les plus forts ; il faut obéir. »~ ~ ~
314    Pas|           tous autour du feu, dans le plus grand silence ; et la grand’
315    Pas|               me dit :~ ~ ~– Voilà le plus brave homme que j’aie vu.
316    Pas|            ronds, leur nez court ; et plus ils appelaient ma grand’
317    Pas|                 Moutter ! Moutter ! – plus cela m’indignait.~ ~ ~ ~
318    Pas|               même chose.~ ~ ~ ~Et le plus triste, c’était que huit
319    Pas|                c’était que huit jours plus tard on apprit la trahison
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