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Alphabétique [« »] plumer 1 plumes 4 plupart 2 plus 319 plusieurs 14 pluton 6 plutôt 3 | Fréquence [« »] 362 n 324 ils 323 comme 319 plus 313 pour 310 son 300 c | Emile-Alexandre Erckmann-Chatrian L'invasion ou le fou Yégof Concordances plus |
Chap.
1 I| par les Suédois. Ce n’est plus qu’un amas de décombres 2 I| fille, et ne se souvenait plus qu’elle était d’une race 3 I| assez, et ça ne les rend pas plus belles ; mais des femmes 4 I| depuis deux mois on n’avait plus de ses nouvelles.~ ~ ~ ~ 5 I| s’avançait, dis-je, le plus étrange personnage qui soit 6 I| Ce fou-là, d’ailleurs, plus que tous les autres, avait 7 I| Retirez-vous… ne m’assourdissez plus… ou je déchaîne contre vous 8 I| distinguant cinq ou six des plus acharnés, il les prévint 9 I| Nous vous avons chargé les plus grosses pierres sur le dos, 10 I| passé. Mes guerriers sont plus nombreux que les feuilles 11 I| connais, je te connais depuis plus de mille ans !~ ~ ~– Bah ! 12 I| tête… et vous ne remuerez plus… vous serez bien tranquilles… 13 I| cette fille en mariage… la plus belle de mes États… Donne-la-moi 14 I| fit-il. Je la destine aux plus grands honneurs… Réjouis-toi, 15 I| Eh bien ! la folie est plus forte que le froid et la 16 I| bizarres, quoiqu’il n’y eût plus personne autour de lui. 17 II| bûcheron ; il ne songeait déjà plus au fou Yégof ; son marteau 18 II| Gaspard, qui ne donnait plus signe de vie, tantôt à la 19 II| murmura le sabotier, de plus en plus étonné, car il n’ 20 II| le sabotier, de plus en plus étonné, car il n’avait jamais 21 II| l’étrangler ; mais lui, plus fort qu’on ne pense, le 22 II| n’ai jamais vu de figure plus épouvantable que celle de 23 II| dérangent… Vous ne dormez plus… et ce qu’un pauvre fou 24 II| raison… Ce qui m’inquiète le plus, c’est de ne recevoir aucune 25 III| ville rasé comme un ponton : plus un jardin, plus un verger, 26 III| ponton : plus un jardin, plus un verger, plus une promenade, 27 III| jardin, plus un verger, plus une promenade, plus un arbre, 28 III| verger, plus une promenade, plus un arbre, plus une broussaille ; 29 III| promenade, plus un arbre, plus une broussaille ; tout était 30 III| portaient en ville. On ne voyait plus rien à l’horizon que le 31 III| gravir ; ils n’en pouvaient plus. « Hue ! de l’ensemble, 32 III| Hullin, tout réjoui, n’était plus le même homme : ses instincts 33 III| étincelait, son cœur battait plus vite, et déjà des idées 34 III| mitraille, s’affaissait de plus en plus, puis se relevait 35 III| s’affaissait de plus en plus, puis se relevait par sursaut 36 III| supporter leur sort avec plus de fermeté que les colosses. 37 III| quelques-uns seulement, les plus jeunes, demandaient d’un 38 III| aubergiste Wittmann, en face, plus pâle que la mort. Wittmann 39 III| écria-t-il, vous arrivez plus tôt qu’à l’ordinaire : je 40 III| autres, vous n’y penseriez plus !~ ~ ~– Une chopine de vin, 41 III| voyez-vous, Hullin, tue plus de monde que le boulet. 42 III| les portes, il n’entrera plus personne. J’ai perdu pour 43 III| faut les écraser. – Enfin, plus on en tue, plus il en repousse ! – 44 III| Enfin, plus on en tue, plus il en repousse ! – Nous 45 III| mais les hommes. Depuis plus de vingt ans qu’on nous 46 III| entrant ; il ne se tenait plus sur ses jambes. C’est drôle, 47 IV| Bois-de-Chênes. On ne songeait plus au récit bizarre de Yégof, 48 IV| depuis deux mois, ne vivait plus. Hullin se garda bien de 49 V| limites s’étendaient de plus en plus.~ ~ ~ ~Rien de beau 50 V| s’étendaient de plus en plus.~ ~ ~ ~Rien de beau comme 51 V| étroit passage, entouré des plus hautes cimes des sapins 52 V| caverne, à porte irrégulière, plus large du haut que du bas, 53 V| la carabine pour en finir plus vite ; c’est à lui qu’on 54 V| là-bas, l’Oxenstein, le plus grand que j’aie jamais vu 55 V| bien ! regarde : il y a plus d’hommes là-bas que d’oiseaux 56 V| et que je me fie beaucoup plus à lui qu’à toi, vieille 57 V| je pouvais tourner un peu plus loin que la brèche, je les 58 V| pas encore à quoi… mais, plus tard, quand j’eus fait mes 59 V| pas aller demeurer dans la plus belle maison de Strasbourg, 60 V| réponds, moi, que c’est le plus grand plaisir du monde. 61 V| scintillantes de givre ; plus haut, on apercevait la crête 62 V| regardait ainsi dans le plus profond silence, voilà qu’ 63 V| te félicite, tu montres plus de bon sens que je ne t’ 64 V| Suisse. Dans huit jours au plus tard, le reste de nos munitions 65 VI| Jésus-Marie-Joseph ! » – le plus grand nombre songeait au 66 VI| sa tristesse en devenait plus grande.~ ~ ~ ~En passant 67 VI| montagnards n’attendaient plus que le signal.~ ~ ~ ~Un 68 VI| Lefèvre a dit oui… Serez-vous plus méchant qu’elle ? Ah ! si 69 VI| regarda tout émerveillé ses plus chauds habits, ses gilets 70 VI| village à la Suisse, et bien plus loin encore. Ah ! maître 71 VI| heure du départ. Elle n’a plus qu’une pensée, plus qu’un 72 VI| n’a plus qu’une pensée, plus qu’un soupir, un cri : « 73 VII| serrant comme une muraille ; plus loin, le long des bois, 74 VII| Saint-Quirin. »~ ~ ~En effet, plus le jour grandissait, plus 75 VII| plus le jour grandissait, plus on découvrait de gens accourant 76 VII| calleuses. Quelques-uns, plus hauts de taille, appartenaient 77 VII| Je n’ai jamais vu de nuit plus douce pour la saison ; c’ 78 VII| nous voilà, ne perdons plus de temps ; Lagarmitte, souffle 79 VII| profonds, il dit au milieu du plus grand silence :~ ~ ~« L’ 80 VII| est pourquoi d’une voix plus ferme il finit ainsi : « 81 VII| impatience. Enfin, n’y tenant plus, elle se leva sur son siège 82 VIII| solidement, dans l’endroit le plus favorable à la défense, 83 VIII| soir ou après-demain au plus tard, je m’en charge ; mais 84 VIII| parmi ceux des villages les plus voisins. Il ne faut pas 85 VIII| puis les blessés seront plus près de chez eux, ce qu’ 86 VIII| comme il faut aller au plus pressé, nous parlerons de 87 VIII| position, et qu’il n’y aura plus de surprise à craindre de 88 VIII| balle se présente, je serai plus libre.~ ~ ~– Voilà donc 89 VIII| provisions. Demain matin au plus tard, il faut que tous les 90 VIII| la Sarre de se réunir le plus tôt possible près de la 91 VIII| Lefèvre n’avait jamais paru plus heureuse ; en remontant 92 VIII| Lorquin reprit d’un ton plus grave :~ ~ ~« Hullin, il 93 IX| On était dans le plus grand feu de la cuisine ; 94 IX| pouvoir faire un pas de plus, et posa lentement la crosse 95 IX| Puis d’une voix plus haute :~ ~ ~« Louise ! dit-il, 96 IX| recommencèrent, mais cette fois plus joyeuses, avec des éclats 97 IX| main qui n’en finissaient plus.~ ~ ~« Ah ! docteur, c’est 98 IX| asseyons-nous ; on cause plus à l’aise. Ah ça ! pourquoi 99 IX| camarades ne me reconnaîtraient plus à la compagnie. »~ ~ ~Tout 100 IX| il ne t’en faudra pas plus de six pour arriver, quoiqu’ 101 IX| à les ranimer. Gaspard, plus ferme qu’il ne l’avait cru 102 IX| Lefèvre ; je t’aime mille fois plus que ma propre vie ; mais 103 IX| embrassons-nous ! Regarde, je ne suis plus la même ; je veux être comme 104 X| frappée dans ce qu’elle a de plus noble, de plus grand, de 105 X| elle a de plus noble, de plus grand, de plus vital : l’ 106 X| noble, de plus grand, de plus vital : l’intelligence ! – 107 X| résiste aux atteintes les plus âpres de la température, 108 X| Est-ce une concentration plus puissante de la vie, une 109 X| la vie, une circulation plus rapide du sang, un état 110 X| Bois-de-Chênes devait être témoin du plus étrange et du plus épouvantable 111 X| témoin du plus étrange et du plus épouvantable spectacle.~ ~ ~ ~ 112 X| à laquelle il ne pensait plus.~ ~ ~ ~Mais qu’on juge de 113 X| pâtres de la montagne ont la plus grande vénération.~ ~ ~ ~ 114 X| À la fin, l’un, le plus vieux, se tut, puis un autre, 115 X| personnes attentives. Le plus grand se mit à hurler, et 116 X| Ces plaintes devenaient de plus en plus navrantes, et le 117 X| plaintes devenaient de plus en plus navrantes, et le silence 118 X| funèbre cortège se trouvaient plus loin de lui, et s’éloignaient 119 X| complètement cessé depuis plus de vingt minutes, et le 120 X| et, même dans l’âge le plus avancé, le brave homme ne 121 XI| dans une gorge étroite ; plus loin, au tournant de la 122 XI| Nous ne pouvons plus rester dans l’incertitude, 123 XI| Materne, et ce sera le plus simple, car un homme désarmé, 124 XI| prudence ! Un Allemand de plus ou de moins sur cent mille 125 XII| aubergiste Dubreuil, – le plus gros et le plus apoplectique 126 XII| Dubreuil, – le plus gros et le plus apoplectique des cabaretiers 127 XII| Dubreuil, ni mes garçons non plus ; expliquez-nous seulement 128 XII| précipitamment, n’y tenant plus de rage.~ ~ ~« Réfléchissez 129 XII| allons… nous retrouverons ça plus tard ! Me conseiller, à 130 XII| halte, et Materne, d’un ton plus calme, leur montrant le 131 XII| pauvres bêtes n’en pouvaient plus.~ ~ ~« Où diable courez-vous 132 XII| riait dans sa barbe.~ ~ ~ ~Plus Materne avançait, plus le 133 XII| Plus Materne avançait, plus le nombre des troupeaux 134 XII| devenait grand ; il n’y avait plus seulement des troupeaux 135 XII| les voitures pour voir de plus loin. On n’avait jamais 136 XII| autres. On ne se possédait plus, on hurlait, on frappait 137 XII| porte et voyant les femmes plus mortes que vives, pâles, 138 XII| livres, vous le cacherez plus facilement que vos tonneaux. »~ ~ ~ 139 XII| troupeaux et n’en pouvaient plus à force de crier.~ ~ ~ ~ 140 XII| il avait dû stationner plus d’une heure sur la glace, 141 XII| allaient partir, lorsqu’un cri, plus grand, plus prolongé que 142 XII| lorsqu’un cri, plus grand, plus prolongé que les autres, 143 XII| peur de tout ce monde donne plus de force à l’ennemi qu’il 144 XII| qu’il fallait monter le plus haut possible, afin de découvrir 145 XII| lignes noires sur la neige ; plus loin, quelques masses sombres, 146 XII| demain ou après-demain au plus tard. Ce ne sera pas une 147 XII| et calme. Ils n’avaient plus qu’à descendre et à remonter 148 XII| de ce côté pour jouir du plus étrange spectacle : une 149 XII| rapide, que Materne répéta plus de cent fois. « Le cheval 150 XII| échine de chèvre, passait plus facilement qu’eux ; c’est 151 XIII| celles de la bise.~ ~ ~ ~Plus d’un montagnard alors se 152 XIII| Pluton ne grondait plus au pas lourd de ces hommes. 153 XIII| que ceux qui en ont plus de vingt en donnent à leurs 154 XIII| immobiles autour du tombereau ; plus loin, Catherine Lefèvre 155 XIII| se rapprochait du feu le plus voisin, quelle ne fut pas 156 XIII| Nous causerons de cela plus tard.~ ~ ~– Tu me refuses !~ ~ ~– 157 XIV| qu’elle avait peur de ne plus le revoir ; ses yeux rouges 158 XIV| nous ferez des discours plus tard sur la paix éternelle. 159 XIV| de larmes. Elle semblait plus morte que vive.~ ~ ~« Et 160 XIV| pressez pas, et ne montrez pas plus de chair qu’il ne faut.~ ~ ~– 161 XIV| Jean-Claude. »~ ~ ~Il allait plus loin ; partout on le recevait 162 XIV| Hullin n’écoutait plus, car, jetant par hasard 163 XIV| déboucher sur la route. Plus loin, dans la rue, s’avançait 164 XIV| dans la neige pour ajuster. Plus haut, il reconnut aussi 165 XIV| Pour dire la vérité, plus d’un brave montagnard, père 166 XIV| mais on ne l’entendait plus. Toute la côte s’enveloppait 167 XIV| À lui seul, il renversa plus de dix de ces enfants de 168 XIV| lentement en retraite, puis plus vite. Les officiers, derrière 169 XIV| malheureux ; au contraire, plus ils en voyaient, plus ils 170 XIV| contraire, plus ils en voyaient, plus ils étaient réjouis.~ ~ ~ ~ 171 XIV| massacré ; seulement une heure plus tard, on le vit passer dans 172 XV| montagnards ne se connaissaient plus d’enthousiasme ; ils levaient 173 XV| village dont je ne me rappelle plus le nom. Des montagnards 174 XV| au-dessous, ne semblaient pas non plus de bonne humeur : on aurait 175 XV| Ne pouvais-tu m’avertir plus tôt ? hurla-t-il. Est-ce 176 XV| écharpe, couper la route plus loin ! tout est au diable ! »~ ~ ~ 177 XV| nouvelle colonne, beaucoup plus forte que la première, sortait 178 XV| Jean-Claude.~ ~ ~ ~Et d’un ton plus calme :~ ~ ~« Écoute, Marc, 179 XV| ne diront pas qu’ils ont plus de cœur que ceux de la Sarre. 180 XV| et le combat recommença plus terrible, plus désespéré 181 XV| recommença plus terrible, plus désespéré que la première 182 XV| vibrante :~ ~ ~« Allons donc… plus vite !… de ce train-là vous 183 XV| tremblait. Les Allemands, pas plus que les partisans, ne faisaient 184 XV| leurs armes pour courir plus vite, l’acharnement des 185 XV| des kaiserlicks en bien plus grand nombre. Mais, sans 186 XVI| en aller… puisque je n’ai plus de jambes. »~ ~ ~Tous trois 187 XVI| l’autre… Moi, je n’en ai plus besoin…~ ~ ~– C’est-à-dire, 188 XVI| pas la peine, je n’en ai plus pour une heure ; on me ferait 189 XVI| le baquet, Colard était plus pâle que la mort. Catherine 190 XVI| os est broyé, ça ne tient plus. Allumez la pipe, Despois. 191 XVI| Nicolas ne fumait plus ; la pipe était tombée de 192 XVI| yeux de ceux qui, un peu plus tôt, un peu plus tard, devaient 193 XVI| un peu plus tôt, un peu plus tard, devaient avoir leur 194 XVII| petite jupe pour courir plus vite, la figure enluminée 195 XVII| la figure enluminée des plus vives couleurs, et le sein 196 XVII| formaient avec Louise le plus étrange contraste.~ ~ ~ ~ 197 XVII| le monde, il faut marcher plus vite.~ ~ ~– Oui, oui, il 198 XVII| Vous, Lesselé, qui êtes la plus grande, décrochez-moi ce 199 XVII| Hullin n’avait jamais eu de plus beau moment dans sa vie.~ ~ ~« 200 XVII| mais ensuite, je n’ai plus pensé qu’à vous et à maman 201 XVIII| réjouissaient à l’idée de ne plus le revoir. Cependant, depuis 202 XVIII| venait sur la côte, toujours plus inquiète et plus irritée. 203 XVIII| toujours plus inquiète et plus irritée. Durant cette journée 204 XVIII| vers la nuit, des coups plus graves, plus formidables 205 XVIII| des coups plus graves, plus formidables encore, retentirent 206 XVIII| assoupir. On n’entendit plus qu’à de longs intervalles 207 XVIII| source chaude bouillonner plus que d’habitude, et des flots 208 XVIII| on sanglote ; Wetterhexe, plus morte que vive, observait 209 XVIII| observait le fou du coin le plus obscur de l’antre.~ ~ ~« 210 XVIII| tous, tous ! Il n’en reste plus. Ils vont ranimer le courage 211 XIX| depuis ce moment ; je ne vois plus rien !… Seulement je sens 212 XIX| est défendue ; nous avons plus de monde qu’il ne nous en 213 XIX| de penser à des choses plus gaies. Tous ces rêves, voyez-vous, 214 XIX| ans, le brave homme ne dit plus rien, et reprit sa promenade 215 XIX| hirondelle, en criant de sa plus douce voix :~ ~ ~« Maman 216 XIX| boulets rouges nous font le plus de mal : ils brûlent les 217 XIX| les gueux étaient dix fois plus nombreux que nous, et ils 218 XX| enfant, moi, je n’en puis plus ; je vais m’en donner ! »~ ~ ~ 219 XX| tout cela s’affaiblit de plus en plus, et bientôt, à la 220 XX| cela s’affaiblit de plus en plus, et bientôt, à la descente 221 XX| Saint-Quirin, dit Frantz, est le plus court pour aller à la ferme 222 XX| Blanru, dit Frantz, c’est plus long, mais c’est plus sûr. »~ ~ ~ 223 XX| est plus long, mais c’est plus sûr. »~ ~ ~Le traîneau descendit 224 XX| Catherine, il nous est arrivé le plus grand des malheurs. Il ne 225 XX| deux ou trois cents pas plus loin, ils entrèrent dans 226 XX| chêne.~ ~ ~« Nous n’avons plus qu’une heure de chemin, 227 XX| Oui, dit Frantz, le plus gros est fait, et nous pouvons 228 XX| pâle du ciel, on ne vit plus alors que s’agiter des banderoles 229 XX| broussailles : il y en avait plus de trente.~ ~ ~ ~Qu’on juge 230 XX| après, on ne s’entendait plus ; les lances froissaient 231 XX| imprécations, on ne voyait plus sous l’ombre du grand chêne, 232 XX| subir son sort !… Ainsi les plus fermes caractères se sentent 233 XX| prairie… Elle voyait la plus haute lucarne de la maison 234 XX| jeune fille ne conserva plus aucun doute : on ferraillait 235 XX| crois bien : il n’y a pas plus de dix minutes, j’arrive 236 XX| un coup ni les autres non plus ; ça leur remettra le cœur 237 XX| vivons-nous !~ ~ ~ ~On ne peut plus suivre les grands chemins 238 XX| pourvu que la chose arrive ! Plus j’aurai attendu, plus j’ 239 XX| Plus j’aurai attendu, plus j’aurai d’appétit : les 240 XXI| beaucoup qui ne verront plus les leurs !~ ~ ~– Frantz, 241 XXI| Niclau ! Saphéri ! » mais plus d’un ne répondit pas.~ ~ ~ ~ 242 XXI| nous causerons de cela plus tard… le temps presse, dit 243 XXI| Hullin ajouta d’un ton plus calme :~ ~ ~« Entre onze 244 XXI| écrasé ; Jérôme ne peut plus tenir ! » Et puis il ne 245 XXI| tenir ! » Et puis il ne dit plus rien. Que faire ?… Est-ce 246 XXI| Alors Hullin, d’un ton plus ferme, exposa son plan :~ ~ ~« 247 XXII| porte ouverte. Deux minutes plus tard, les vitres volaient 248 XXII| venger toute seule. »~ ~ ~Plus on montait, plus l’air devenait 249 XXII| Plus on montait, plus l’air devenait vif. Louise, 250 XXII| disait : « Je n’ai jamais été plus heureuse, je n’ai jamais 251 XXII| ciel leur paraissait encore plus profond, le sentier creusé 252 XXII| creusé en volute dans le roc plus étroit. Les vallées à perte 253 XXII| voûte. Là, chacun respira plus librement. On vit, au milieu 254 XXII| reçut cette nouvelle avec le plus grand calme, et s’avança 255 XXII| tutoyaient.~ ~ ~« Ni moi non plus, répondit la vieille fermière ; 256 XXIII| trempé par la pluie, donnait plus de fumée que de flamme, 257 XXIII| Divès, voyant cela, devint plus rêveur. « S’ils nous entourent, 258 XXIII| pensait-il, nous ne pourrons plus nous procurer de vivres ; 259 XXIII| enfants formaient cercle plus loin, d’un air d’extase, 260 XXIII| Catherine Lefèvre, et toi, mon plus vieil ami !… Si je ne reviens 261 XXIII| maintenant : nous n’avons plus de ressource qu’en toi. »~ ~ ~ 262 XXIII| pareil moment ; n’en parlons plus jamais !… Je laisserai ma 263 XXIII| Triboques. Les murs-là ont plus de deux mille ans. Il a 264 XXIV| spectacle immense, se sentit plus calme, plus tranquille que 265 XXIV| immense, se sentit plus calme, plus tranquille que dans le sommeil 266 XXIV| plaintes ne comptent pas plus que le soupir de la cigale 267 XXIV| l’avenir ne lui faisait plus peur ; les pensées pour 268 XXIV| arrive pas, nous n’aurons plus rien… alors nous verrons ! »~ ~ ~ 269 XXIV| broussailles pour aller plus vite.~ ~ ~« Eh bien, lui 270 XXIV| deux portées de carabine ; plus loin stationnaient cinq 271 XXIV| groupe. Catherine Lefèvre, la plus avancée, fronçait les sourcils ; – 272 XXIV| Hullin, il n’y a pas de plus ou de moins ; nous avons 273 XXIV| ils nous estimeront encore plus dans huit ou quinze jours, 274 XXIV| dans les inspirations les plus regrettables. D’ailleurs, 275 XXIV| acte de vandalisme, et, de plus, il a décide qu’une indemnité 276 XXIV| conditions honorables. Une plus longue résistance n’aboutirait 277 XXIV| comme elle s’animait de plus en plus, le parlementaire 278 XXIV| elle s’animait de plus en plus, le parlementaire jugea 279 XXIV| préserver les malheureux de la plus horrible famine.~ ~ ~ ~ 280 XXV| Falkenstein. Ils ne parlaient plus ; accroupis à terre, la 281 XXV| objets réels, ne voyaient plus que des ombres voltiger 282 XXV| reins, et le serrait de plus en plus, prétendant satisfaire 283 XXV| et le serrait de plus en plus, prétendant satisfaire ainsi 284 XXV| profond. Louise ne donnait plus signe de vie ; Kasper et 285 XXV| bruyères. Elle ne parlait plus ce soir-là, Hullin, Jérôme, 286 XXV| émotion, s’écria d’un accent plus ferme :~ ~ ~« Jérôme, Catherine, 287 XXV| dernier n’aurait pas produit plus d’effet sur les assiégés ; 288 XXV| sanglotaient, mais ils n’avaient plus de larmes. Une seconde détonation 289 XXV| des assiégés ; d’autant plus que les Allemands, sept 290 XXV| crécelle qui n’en finissait plus.~ ~ ~ ~Et tous les autres, 291 XXV| avait jamais vu de scène plus terrible. Ces êtres, aux 292 XXV| carnage. Ils ne trébuchaient plus, ils ne chancelaient plus ; 293 XXV| plus, ils ne chancelaient plus ; ils enlevaient chacun 294 XXV| pétrifiés ; mais levant les yeux plus haut et voyant d’autres 295 XXV| mort horrible.~ ~ ~ ~Au plus fort de la déroute, le général 296 XXVI| lorsqu’on les vit revenir, plus maigres que Lazarus debout 297 XXVI| Divès fut obligé de raconter plus de vingt fois l’histoire 298 XXVI| ces gueux de Cosaques sont plus fins que les douaniers : 299 XXVI| Lorraine : on n’en voyait plus en Alsace qu’autour des 300 XXVI| fils, un coq de bruyère, le plus amoureux des oiseaux, comme 301 XXVI| vieux chant patriotique, le plus grand, le plus noble que 302 XXVI| patriotique, le plus grand, le plus noble que l’homme ait jamais 303 XXVI| On n’avait jamais vu de plus belle nuit : des étoiles 304 Pas| parce qu’ils ne voulaient plus de nos rois, de nos princes, 305 Pas| du courage au milieu des plus grandes souffrances et que 306 Pas| ou six ans ne remuaient plus derrière leur âtre, et qui 307 Pas| victoires, nous n’avions plus de monde, et le peuple qu’ 308 Pas| on peut regarder comme le plus brave de l’univers était 309 Pas| Mais je ne veux pas en dire plus… Oublions ce que nous avons 310 Pas| chez nos voisins dans les plus terribles inquiétudes, cela 311 Pas| Ils étaient là peut-être plus de vingt mille, qui défilaient 312 Pas| encombrement au bout du village, ou plus loin au bois de hêtres, 313 Pas| nous ne sommes pas les plus forts ; il faut obéir. »~ ~ ~ 314 Pas| tous autour du feu, dans le plus grand silence ; et la grand’ 315 Pas| me dit :~ ~ ~– Voilà le plus brave homme que j’aie vu. 316 Pas| ronds, leur nez court ; et plus ils appelaient ma grand’ 317 Pas| Moutter ! Moutter ! – plus cela m’indignait.~ ~ ~ ~ 318 Pas| même chose.~ ~ ~ ~Et le plus triste, c’était que huit 319 Pas| c’était que huit jours plus tard on apprit la trahison