Chap.

 1    II|            elle la trouve. C’est un ver gris qui gît à terre et
 2    II|             difficile à trouver, un ver gris, pour un hyménoptère
 3    II|                Eh bien ! Favier, ce ver gris ? – Je n’en trouve
 4    II|            l’autre je m’enquiers du ver gris. Rien n’y fait : trois
 5    II|             à chercher vainement un ver gris, ce n’est pas à dire
 6    II|          entières. Peut-être que le ver gris, pressentant la pluie
 7    II|          gratte, il doit y avoir un ver gris ; le point est abandonné
 8    II|         point voulu, et j’exhume un ver gris. Parfait ! ma perspicace
 9    II|             obtiens ainsi un second ver gris, puis un troisième,
10    II|         avez pu me déterrer un seul ver gris, et ce fin giboyeur
11    II|       courbes de ses mandibules. Le ver gris se démène avec vigueur ;
12    II|      essentiel, qui doit dompter le ver gris et le rendre plus maniable.~ ~ ~ ~
13    II|        graduellement reculer sur le ver gris, saisir chaque fois
14    II|             coup de stylet reçu, le ver gris n’oppose qu’une faible
15    II|     mandibulaires, happe la tête du ver et la mâchonne, la comprime
16   III|                UN SENS INCONNU – LE VER GRIS~ ~ ~ ~Je viens de raconter
17   III|  hyménoptère en vue de paralyser le ver gris est, dans le domaine
18   III|          pointgît sous terre le ver gris ?~ ~ ~ ~Rien au dehors,
19   III|        cependant il doit y avoir un ver gris, comme je viens de
20   III|           faudrait palper, c’est le ver gris ; et ce ver est reclus
21   III|             est le ver gris ; et ce ver est reclus dans son terrier
22   III|             être. Or j’ai soumis le ver gris à ma propre expertise ;
23   III|           avertie de la présence du ver gris par un léger bruit
24   III|          que faible, il est nul. Le ver gris est nocturne. Le jour,
25   III|        pointgît, sous terre, le ver gris ? Les antennes, c’est
26   III|          Pour le moment revenons au ver gris, qu’il n’est pas inopportun
27   III| vulgairement connues sous le nom de ver gris à cause de leur costume
28   III|            détaché de sa racine. Le ver gris, dans la nuit, a passé
29   III|             rivalisent avec ceux du ver blanc ou larve du Hanneton.
30   III|             zélé pour rechercher le ver gris au printemps, si habile
31   III|          notre calamiteux ennemi le ver gris. Pouvons-nous quelque
32   III|             serait de multiplier le ver gris, unique nourriture
33   III|             encore moins le stupide Ver à soie, campé sur la feuille
34   III|          balancent en nombre. Si le ver gris abonde, l’Ammophile
35    IV|            a-t-il de points dans un ver gris, à la surface et à
36    IV|            sont pas suffisantes, le ver gris bravera les efforts
37    IV|             œuf fixé en un point du ver, périra sous les contorsions
38    IV|      hérissée, faisant capture d’un ver gris pour nourrir sa larve,
39    IV|        encore : avant de chasser le ver gris, l’Ammophile hérissée
40     V|            celles de l’opérateur du ver gris. Si le gibier reste
41     V|  organisation que nous a montrée le ver gris de l’Ammophile.~ ~ ~ ~
42     V|     peut-être contusionné le tendre ver en démolissant la forteresse ;
43     V|           sur le nid pour éviter au ver un coup de soleil, je transvasais
44     V|             quelque meurtrissure du ver sous les décombres. Quant
45     V|            extrémité, en travers du ver gris, sur le flanc du premier
46     V|       peut-être pas sans danger. Le ver d’ailleurs, piqué dans la
47     V|        suite une sorte de ruban. Le ver est attablé : la tête en
48     V|    chenilles s’agitent. Aussitôt le ver se retire de la mêlée. Et
49     V|            ascension dans lequel le ver rampe à reculons et remonte.
50     V|          robuste adolescent ; et le ver, dédaigneux désormais de
51     V|              Nouvellement éclos, le ver, dont le cordon suspenseur
52    VI|           Elle en est à son premier ver, dont la peau déjà devient
53    VI|            allonge et revient à son ver. Ainsi se passent les débuts
54    VI|     vingt-quatre heures, le premier ver est dévoré. La larve alors
55    VI|  soupçonnait pas l’importance. « Le ver, dit-il, naît sur le fond
56    VI|         avoir vu. Cette position du ver lui est si bien connue que,
57    VI|           est une pose naturelle du ver pendant l’inaction, de même
58    VI|             son enroulement, chaque ver se maintient donc à peu
59    IX|     Ammophile hérissée recherche le ver gris, c’est avec les antennes,
60    IX|          Ammophile, en quête de son ver gris, m’avait déjà conduit
61     X|        manière de vivre. C’était un ver, c’est une abeille. L’insecte
62  XVII|        actif du début, a succédé un ver ventripotent, rendu immobile
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