Chap.

 1     I|            sont les Ammophiles, que je vois voleter, l’une au printemps,
 2    II|            trouve pas davantage. Je la vois chercher avec quelque persévérance
 3    II|                la face ventrale. Je le vois alors graduellement reculer
 4    IV|                 struggle for life). Je vois bien de grands mots, mais
 5    IV|          moderne de l’instinct. Je n’y vois qu’un jeu d’esprit, où le
 6    VI|             une Intelligence ? Plus je vois, plus j’observe, et plus
 7   VII|              dos dans la rainure. J’en vois de renversés, le ventre
 8   VII|            temps trois autres. Je n’en vois plus dans le reste de la
 9   VII|                la direction suivie, je vois mes libérés disparaître
10  VIII|            bien une belle affaire ! Je vois encore, je verrai toujours
11    IX|                inconnu, car je ne leur vois pas faire longues excursions.
12    IX|              de juin et de juillet, je vois fréquemment les Amazones
13    IX|  intermédiaires, la rive opposée. J’en vois qui, entraînés par le courant
14    IX|             désorienter totalement. Je vois l’Amazone, remise à terre,
15    IX|        mandibules bien entendu ; je la vois s’éloigner en toute hâte
16    IX|          croyant les rejoindre ; je la vois revenir sur ses pas, s’écarter
17     X|          fourré comme en plein air, je vois l’hyménoptère procéder au
18     X|                et du succulent : je le vois rejeter les pattes, les
19     X|                Par l’ample fenêtre, je vois déposer l’œuf sur la pâtée.
20     X| disproportionné avec le déblai ; je la vois s’élever par-dessus le platane
21     X|       perspicaces que les miens. Je ne vois en tout ceci qu’une obstination
22     X|                une mince couche. Je ne vois pas d’hésitation bien prononcée
23    XI|              tant qu’il peut. Je ne le vois pas dégainer. L’Aranéide
24   XII|             Crabro). Il est rare. J’en vois trois ou quatre dans l’année,
25   XII|            laboratoire de l’harmas. Je vois encore l’intrépide braconnier
26   XII|             ces trompeurs cadavres, je vois en esprit ce qui s’est passé :
27   XII|                pendant l’été, je ne la vois pas errer. Plus tard, dans
28   XII|                À diverses reprises, je vois le Pompile brusquement se
29   XII|               le Pompile apical, je le vois en esprit sournoisement
30   XII|            répugnance. Une fois, je la vois se coucher sur le dos, et
31   XII|                       Peu après, je le vois ressortir. Il cherche çà
32  XIII|              loin dans mes tubes. J’en vois qui percent trois ou quatre
33  XIII|              favorisés. Tout ce que je vois de remarquable, c’est le