Chap.

 1     I|         Le plus grand guette la Lycose de Narbonne, dont le terrier
 2    XI|       lui en Espagne :~ ~ ~« La Lycose tarentule habite de préférence
 3    XI|    ourdi par les filières de la Lycose et se continuant dans tout
 4    XI|      mauvais temps, soit que la Lycose ne rencontrât pas toujours
 5    XI|   attention et les désirs de la Lycose étaient éveillés. Séduite
 6    XI|      boyau et la position de la Lycose, j’enfonçais avec force
 7    XI|       au loin et la terre et la Lycose, dont je m’emparais. En
 8    XI|     équivalent à ventre noir ou Lycose de Narbonne, moitié moindre
 9    XI|  vingtaine de terriers de cette Lycose. Rarement je passe à côté
10    XI|     Pétrée est le paradis de la Lycose ; en une heure de temps,
11    XI|     matériaux à la portée de la Lycose, dans l’étroit voisinage
12    XI|       attirer l’attention de la Lycose, qui s’élance au dehors
13    XI|          Hors de sa demeure, la Lycose est peureuse, comme effarée,
14    XI|         crochets venimeux de la Lycose, la Guêpe oppose son stylet
15    XI|         danger sérieux. Pour la Lycose, le métier est plus chanceux.
16    XI|       sous les mandibules de la Lycose. Une proie faible, c’est
17    XI|   plongé dans le terrier. Si la Lycose accourt tout de suite, si
18    XI|        pattes ; et malheur à la Lycose qu’atteindrait le stylet.
19    XI| meurtrière, avec le venin de la Lycose, venin assez redoutable,
20   XII|     bornent les préparatifs. La Lycose est introduite, traînant
21   XII|      Pompile aux prises avec la Lycose. Quel duel, où la ruse de
22   XII|         sa forteresse ? Mais la Lycose est casanière ; pendant
23   XII|         autour du bastion de la Lycose. Celle-ci accourt du fond
24   XII|         patte, tire et lance la Lycose hors du trou. C’est désormais