Chap.

 1   III|             Quel sens alors ? L’odorat ? Informons-nous. Les organes
 2   III|              On pense alors à l’odorat. Les insectes, c’est incontestable,
 3   III|   expurger le sol. Guidés par l’odorat, ces ensevelisseurs se hâtent
 4   III|         de graves objections. L’odorat est un sens passif plutôt
 5   III|           Mais il y a mieux : l’odorat sans odeur n’a pas de raison
 6   III|        Je reconnais au chien un odorat plus subtil que le nôtre ;
 7   III|    attirent sont perçus sans un odorat d’une finesse exceptionnelle.
 8   III|         écarté comme celui de l’odorat.~ ~ ~ ~La question revient,
 9   III|         nécessaire à l’habituel odorat, est néanmoins sensible
10   III|        Qu’on ne parle pas ici d’odorat ; il faudrait le supposer
11   III|      mettons sur le compte de l’odorat des insectes ! Nous nous
12    IX|      dit-on, sont guidées par l’odorat ; et cet odorat paraît avoir
13    IX|   guidées par l’odorat ; et cet odorat paraît avoir pour siège
14    IX|         abord, je me méfie d’un odorat ayant pour siège les antennes ;
15    IX|   semble plaider en faveur de l’odorat. À quatre reprises, il y
16    IX|      prononcer pour ou contre l’odorat, il convient donc de recommencer
17    IX|      forte, et sensible à notre odorat, tandis que la première
18    IX|          je crois, d’invoquer l’odorat comme guide des fourmis
19    IX| recherches. Ce n’est donc pas l’odorat qui le guide, mais bien
20  XIII|         la vue. Serait-ce par l’odorat ? Je me méfie toujours un
21  XIII|    méfie toujours un peu de cet odorat, dont on ne sait pas le
22  XIII|      lui et sa race.~ ~ ~ ~Et l’odorat, qui distinguait le mort
23   XVI|      être invoqués ? Il reste l’odorat. Mais alors quelle exquise