Chap.

 1    II|               de sable sonnant dans la coque vide, germent en un vieux
 2  XIII|                larve de cette première coque ait reçu mission d’abdiquer
 3   XIV|              renferment une singulière coque ovoïde, divisée en segments,
 4   XIV|               Mais qu’est-ce que cette coque bizarre où le Sitaris est
 5   XIV|               invariablement renfermé, coque sans exemple dans l’ordre
 6   XIV|             insecte parfait hors de la coque, l’accouplement et la ponte.
 7   XIV|                ponte. La rupture de la coque est facile : quelques coups
 8   XIV|                la tête déjà hors de la coque, se démène avec anxiété
 9   XIV|                heures, monte sur cette coque, et tiraillant d’ici, de-là,
10   XIV|               déclare en arrière de la coque, et, bien que la femelle
11   XIV|              immobile sur le dos de la coque, ou bien sur le dos de la
12   XIV|               le moindre lambeau de la coque d’où il est sorti.~ ~ ~ ~
13   XIV|             comme porte à le croire la coque énigmatique d’où sort le
14   XIV|         parasites présumés auxquels la coque pourrait être rapportée,
15  XVII|                à bout dans l’espèce de coque que lui forment les téguments
16  XVII|         difficile, que la cavité de la coque est à peu de chose près
17  XVII|             repos laisse libre dans sa coque, est peu de chose relativement
18  XVII| pseudo-chrysalide. En la sortant de sa coque d’ambre, on reconnaît que
19  XVII|         renfermé quelque temps dans la coque, ne peut la reprendre, faute
20  XVII|                libre qui reste dans la coque, amène forcément, si l’on
21  XVII|                l’extrémité anale de la coque. Vainement on épie dans
22  XVII|                correspondance entre la coque et son contenu, pour m’expliquer
23  XVII|                de jours encore dans la coque jusqu’ici intacte, rejetant