Chap.

 1    II|        Le dard séjourne dans la blessure avec une certaine persistance.
 2    II|  comprime à coups mesurés, sans blessure. Ces coups de pression se
 3    IV|     jeunes années, la vue d’une blessure saignante m’impressionnait
 4    IV|         si soudainement. Pas de blessure béante, pas de sang répandu,
 5    IV|      dépouillent. Mais comme la blessure faite à la moelle cervicale
 6    IV| résultat foudroyant d’une telle blessure ; nous sommes presque tous,
 7    IV|        redoutables effets d’une blessure faite à la nuque Qui nous
 8    IV|   Irrité mais non dompté par la blessure, l’animal en deviendrait
 9    VI|         s’en sert. Toutefois la blessure est si légère, que Réaumur
10    VI|     compter les désordres d’une blessure s’aggravant. La larve qui
11    XI|    trouve sur le cadavre aucune blessure, tant sont fines les armes
12    XI|    aiguillon, périssaient de la blessure dans les vingt-quatre heures.
13    XI|        pouvait périr, non de sa blessure, mais d’inanition, si je
14    XI|         là ; ailleurs ce serait blessure exaltant la résistance par
15   XII|       vie, sans trace aucune de blessure. C’est la vie, en effet,
16   XII|        happer la nuque, dont la blessure amènerait la mort soudaine ?
17   XII|         fait toute autre petite blessure. C’était au mois de septembre,
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