Chap.

 1     I|     onoporde d’Illyrie, dont la tige, isolée et droite, s’élève
 2     I|         Anthidie. Il râtisse la tige aranéeuse de la centaurée
 3   III|       de comprendre comment une tige d’anneaux cornés, articulés
 4    VI|        enlevant la moelle d’une tige sèche de ronce, obtient,
 5  XIII|   laisse en place la base de la tige, qui ne tarde pas à se dessécher.
 6  XIII|         de prix qu’une pareille tige sèche, lorsqu’elle est d’
 7  XIII|        enlèvent la moelle de la tige sèche et obtiennent ainsi
 8  XIII|      suivant les qualités de la tige. Si le bout de ronce est
 9  XIII|  aménagement, il faut fendre la tige en long, pendant l’hiver,
10  XIII|     aisément raison. En bas, la tige n’offre aucune voie préparée ;
11  XIII|      empile dans le canal d’une tige sèche de ronce des cellules
12  XIII|         par la troncature de la tige de ronce. Or, la nature,
13  XIII|         ses loges dans une même tige, se prête mieux que les
14  XIII|    conditions que leur offre la tige natale, ils n’ont à forcer
15   XIV| coquille vide d’escargot, de la tige sèche et creuse de quelque
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