Chap.

 1     I|                 CHAPITRE I~ ~ LES SCOLIES~ ~ ~ ~Si la force devait
 2     I|    Hyménoptères, domineraient les Scolies. Quelques-unes, pour les
 3     I|        figure à côté de certaines Scolies. Parmi ce groupe de géants,
 4     I|       reculé devant les premières Scolies, si désireux que je fusse
 5     I|      chasseur d’hyménoptères. Les Scolies sont très pacifiques. Leur
 6     I|                  Parmi les autres Scolies de ma région, je mentionnerai
 7     I|    éléments de ce travail sur les Scolies.~ ~ ~ ~J’ouvre mes vieilles
 8     I|           un emplacement aimé des Scolies. Çà et là sont semés des
 9     I|         je ne sais d’où, quelques Scolies à deux bandes. Le nombre
10     I|        interminable ballet de mes Scolies. Prenons patience ; peut-être
11     I|      désertent mon parapluie, les Scolies se lassent et peu à peu
12     I|         avant que la question des Scolies eut reçu satisfaisante réponse.
13     I| rencontrer un point hanté par les Scolies ? Le luchet plonge au hasard,
14     I|   rarement il est vrai.~ ~ ~ ~Les Scolies ne creusent pas de terrier
15     I|         jour se fait un peu : les Scolies sont des laboureurs souterrains.
16     I|       ayant capturé autrefois des Scolies souillées de petits encroûtements
17     I|           sont le gibier des deux Scolies, le problème serait à demi
18     I|         génération présente ; les Scolies que j’exhume les ont quittés
19     I|          donc le gibier des trois Scolies dont les mœurs nous sont
20     I|        tout ce remue-ménage ; des Scolies ont fui qui peut-être auront
21    II|           que les larves dont les Scolies se nourrissent. Du jour
22    II|           quarts dévorées par les Scolies, ont toujours, au contraire,
23    II|  putréfient en même temps que les Scolies meurent. Ce résultat a son
24    II|     chapitre. Je remarque que les Scolies auxquelles je sers des Éphippigères
25    II|          corrompues, enfin si les Scolies avaient su les manger suivant
26    II|     infailliblement sa perte. Les Scolies de mes expériences ne sont
27    II|          art depuis qu’il y a des Scolies au monde ; et néanmoins
28   III|         conditions, mes larves de Scolies parviennent, tout au plus,
29   III|        œuf et le ver naissant des Scolies, établis sous le ventre,
30   III|        tension. La prospérité des Scolies exige davantage : il faut
31   III|     admets pour ration des autres Scolies des larves de lamellicornes
32    IV|    CHAPITRE IV~ ~ LE PROBLÈME DES SCOLIES~ ~ ~ ~Tous les faits exposés,
33    IV|   comparable à celui du gibier de Scolies. Ces déprédateurs, opérant
34    IV|          Grillons.~ ~ ~ ~Avec les Scolies reparaît la proie molle,
35    IV|                 Il faut alors aux Scolies, destinées à chercher et
36    IV|            que faisaient donc les Scolies ?~ ~ ~ ~Elles hésitaient,
37    IV|      aussi complexe que celui des Scolies. Au début l’animal tâtonne,
38    IV|          théorie répondra que les Scolies descendent d’un précurseur,
39    IV|     néanmoins à l’essai celui des Scolies.~ ~ ~ ~Que faisait-il ?
40    IV|              Reprenons ce que les Scolies nous apprennent sur cette
41    IV|           complètent la série des Scolies. Leurs mœurs ne m’étant
42    IV| darwinisme a des démêlés avec les Scolies et leur proie. Dans le tas
43     V|       même piste, à l’exemple des Scolies, il épie la sortie des femelles
44     V|            En aucune manière. Les Scolies, dont les mœurs nous sont
45     V|         en quoi diffèrent-ils des Scolies pour la manière de vivre ?
46     V|          Chez eux, comme chez les Scolies, il se fait consommation
47    VI|          font un genre voisin des Scolies pour tout regard quelque
48    VI|        les Sapyges à la suite des Scolies, un peu avant les Mutilles.
49    VI|           avant les Mutilles. Les Scolies vivent de proie, les Mutilles
50   XII|           terre comme le font les Scolies. En septembre, je le vois
51   XIV|       diptère et rien autre ; les Scolies ont le monopole des larves