Chap.

 1    II|          rende compte le moins du monde du danger qu’il y aurait
 2    II| réussira-t-elle ? Pas le moins du monde. Le troisième jour, l’Orycte
 3    II|          qu’il y a des Scolies au monde ; et néanmoins elles périssent
 4   III|          ma connaissance, dans le monde des insectes. Bien que doué
 5    IV|     gamelle dans trois parties du monde, il a l’esprit ouvert et
 6     V|            que celle qui régit le monde de l’insecte et quelque
 7    VI|           le plus paisiblement du monde, sans qu’aucune des voisines,
 8    VI|          est la grande joie de ce monde. Quelles myriades de cellules
 9   VII|      nécessaire ? Pas le moins du monde. La masse des vivres est
10   VII|         il en soit, tout ce petit monde affairé vit sans noises,
11   VII|           qui, dit-on, régente le monde. Faite pour s’installer
12  VIII|       connais. Je me sens dans un monde où ma vieille expérience
13     X|           de parler comme tout le monde afin d’être compris de tous,
14    XI|           ai toutes les peines du monde à retrouver l’infime créature
15    XI|        minérales l’accueillent au monde, lui filament d’albumine
16    XI|           sont singuliers dans le monde des insectes. N’importe :
17   XII|         que dire de l’Empuse ? Le monde des insectes n’a pas, dans
18  XIII|         universel, qui régente le monde et fait tressaillir jusqu’
19   XIV|        apportée à son dire par le monde entomologique. Le gastrosophe
20   XIV|          de ce que mange le petit monde grouillant autour de nous.~ ~ ~ ~
21   XIV|           qu’il y a des Bembex au monde, est accepté sans répugnance
22    XV|          serait beau de mettre le monde en équation, de se donner
23    XV|         être faux de l’animal. Le monde est à l’estomac affranchi
24   XVI|         préparé avant que soit au monde celui qui doit le consommer.
25   XVI|          régime ? Pas le moins du monde. Une expérience, comme nous
26   XVI|          variation des vivres. Le monde des vivants n’est-il pas