Chap.

 1    II|                CHAPITRE II~ ~ UNE CONSOMMATION PÉRILLEUSE~ ~ ~ ~Sous le
 2    II|           un gibier volumineux, à consommation de longue durée. De ce nombre
 3    II|     dépouille ; par sa méthodique consommation, la Scolie a su, jusqu’à
 4    II|   délicatesse qui ménage, jusqu’à consommation finale, des traces de vie
 5    II|       immondice.~ ~ ~ ~Cet art de consommation ménagée ne semble pas d’
 6    II|           se demander si, pour la consommation des vivres, le point d’attaque
 7    II|          les effets mortels d’une consommation troublée. Cette fois, c’
 8    II|      suivre sa méthode savante de consommation.~ ~ ~ ~Ces résultats merveilleux
 9    II|         des vivres jusqu’à finale consommation, nul moyen d’invoquer une
10    II|    complications. À l’origine, la consommation est rigoureusement méthodique,
11     V|           les Scolies, il se fait consommation sur place d’un gibier légitimement
12    VI|            se reconnaît son avide consommation des vivres amassés par l’
13  VIII|         recul pour interrompre la consommation et reprendre quelque temps
14  VIII|          faisander. Sa méthode de consommation atteint le degré le plus
15  VIII|           ignore les règles d’une consommation méthodique en un point fixe
16    IX|         du Leucospis ? Le mode de consommation va nous l’apprendre.~ ~ ~ ~
17    IX|        semble que, sur la fin, la consommation devient plus brutale et
18    IX|  outillage d’attaque, la prudente consommation qui maintient les vivres
19    XI|          la nymphose, la forme de consommation. Mais il arrive aussi qu’
20  XIII|     origine commune, comment à la consommation du miel a-t-il succédé la
21  XIII|         du miel a-t-il succédé la consommation de la chair ? Comment l’
22   XIV|           pas pour lui un mets de consommation courante, consacré par les
23   XIV|           combien est délicate la consommation d’une pièce qui doit se
24   XIV| altération putride par sa prompte consommation. Tout à côté, les autres