Chap.

 1    II|          saurait répondre. Où la science se tait, le ver peut-être
 2    II|         derniers moments ! Notre science physiologique, dont nous
 3   III|      maintenant du domaine de la science courante. On sait que, chez
 4    IV|     travail de haute valeur : la science n’existe qu’à cette condition-là.
 5    IV|         Dans l’état actuel de la science, il est parfaitement démontré
 6    IV|          questions pareilles, la science en vogue a toujours une
 7    IV|       comme le dernier mot de la science. Toussenel, en son temps,
 8     V|       étais mûr pour ce genre de science. Entre nous, le soir, sur
 9     X|        tout heureux de servir la science avec des sonorités de Canaque :
10     X|          est pas nécessaire à la science, je fuis l’appellation technique
11   XII|        son instinct, émule de la science d’un Latreille, il réunit
12   XII|   insisté sur l’incompréhensible science de l’instinct ; j’y reviens
13   XII|       rapprochés. Ainsi parle la science de l’homme ; ainsi conseille
14   XII|        il le savait.~ ~ ~ ~Cette science qui s’ignore, lui et sa
15   XII|       vient-il donc, sinon de la science universelle en qui tout
16   XIV| connaissance avec la Piéride. La science compléta l’œuvre, désireuse
17   XIV|        par l’homme étranger à la science, par l’enfant surtout, observateur
18   XVI|         de son terrier, là où la science optiquement armée n’est
19  XVII|   prétend édifier aujourd’hui la science ! Fort bien, mes maîtres ;
20    XX|       les aperçus nouveaux de la science. En mes débuts, alors que