Chap.

 1     I|   possesseur d’un lambeau d’épiderme pourri. Si c’est bien ainsi,
 2     I|  chemin.~ ~ ~ ~Ce lambeau d’épiderme fut examiné avec tous les
 3    II|   la dent ? Certes, non ; l’épiderme de la Cétoine n’est pas
 4     V|      moins la guenille de l’épiderme. Disparue, comment ? La
 5  VIII|    et douée de ce luisant d’épiderme qui est le signe de la santé,
 6  VIII|   il doit épuiser jusqu’à l’épiderme. Et celle-ci, non paralysée
 7  VIII|  tout le corps d’un robuste épiderme roussâtre et corné.~ ~ ~ ~
 8    IX| très bien servir à percer l’épiderme d’un orifice comme n’en
 9    IX|   rien blesser au delà de l’épiderme. Ainsi se trouve réalisée,
10    XI|     puis se dépouiller de l’épiderme et devenir la larve que
11    XI|   du repas se réduisent à l’épiderme, chose trop coriace pour
12    XI|     simple renouvellement d’épiderme, c’est aussi une transfiguration.
13  XIII|     elles. Dépouillé de son épiderme, l’animal reparaît tel qu’
14   XIV|    que réclame leur délicat épiderme ; sont exhumées aussi les
15   XIV|    laissant qu’un chiffon d’épiderme. Les larves à grosse et
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2011. Content in this page is licensed under a Creative Commons License