Chap.

 1     I|       appareil distillatoire. Au ver sommeillant pendant dix
 2    II|      achevé ; il empoisonnera le ver de ces putridités activées
 3   VII|    utilise donc de la galerie du ver que la portion antérieure,
 4  VIII|     inévitable. Figurons-nous le ver mangeur de miel nageant
 5     X|      moins par l’odeur. C’est un ver courtaud, grassouillet,
 6     X|          à essence. Qui manie le ver a les doigts apuantis et
 7     X|        se défendre, et le pauvre ver n’a pas eu l’inspiration
 8     X|         apprends cependant qu’un ver, de saveur détestable, de
 9     X|          d’huile essentielle, le ver possède un autre appareil
10     X|      chasseur, constatons que le ver emploie son bouton anal
11     X| approches de la métamorphose, le ver, malgré les coups de stylet,
12     X|          vie anime sourdement le ver, puisque pouvoir lui est
13     X|     oviducte. De cette façon, le ver naissant a toujours la nourriture
14     X|       éphippigère, l’autre à son ver gris, pour comprimer et
15     X|   confond les deux extrémités du ver et pique le bout du ventre
16     X|        mets exquis. Cependant le ver, mordu au vif, agite en
17     X|           peu lui importe que le ver dont il convoite la friandise
18     X|        Odynère repu le lâche, le ver à croupion mâché est donc
19     X|        trait en quelque sorte le ver ; par la compression, que
20     X|         considérons le cas où le ver est piqué seulement au bout
21     X|      parfaitement mobiles, et le ver en fait usage : il rampe,
22    XI|          goutte défensive que le ver distille au bout de l’intestin.
23    XI|        plus ou moins avancée. Le ver mâchonne la dernière pièce
24    XI|        viendront à mesure que le ver grandira. Ainsi se confirment
25    XI| conviendrait d’offrir le miel au ver dès le début, alors que
26    XI|          problème est résolu. Le ver qui a mordu sur la proie
27    XI|          fait, je rends à chaque ver ses vivres. Un choix s’imposait,
28    XI|     comme celles des Scolies. Le ver, en effet, attaque sa proie
29    XI|       des morceaux illicites. Le ver de la Scolie, consommant
30    XI|        forme adulte, est pour le ver de ce dernier objet d’insurmontable
31    XI|       trop dure, trop épicée. Le ver qui ronge la larve de cétoine,
32    XI|         l’estomac d’un misérable ver !~ ~ ~ ~Ces recherches de
33   XII|      terriers, à la recherche du ver gris, à la mise en cave
34   XII|           Reste l’acquisition du ver gris. Ici recommencent les
35   XII|        ne me fournit pas un seul ver. Mes rivales en recherches
36   XII|      assez abondante du précieux ver gris ou de son équivalent.~ ~ ~ ~
37   XII|       équivalent.~ ~ ~ ~Voilà le ver et l’Ammophile en présence
38   XII|          sont traversés, dont le ver gris peut saisir un brin
39   XII|       serait insurmontable si le ver, mordant à pleines mandibules
40   XII|     distance, sur la poitrine du ver, n’a rien à craindre des
41   XII|    hérissée quand elle opère son ver gris en une seule séance.
42   XII|     viens de le dire au sujet du ver gris, de conformation ordinaire.
43  XIII|    fouilles, les points aimés du ver : les dunes accumulées par
44  XIII|        la Cétoine sur le dos, le ver pansu ne songe pas à fuir ;
45  XIII|   crochet à la façon du vulgaire ver blanc, la larve de l’Anoxie
46   XIV|   traditionnel de sa famille, le ver gris. Je lui offrais indistinctement
47   XIV|        des branches du lilas, un ver à soie de dimensions réduites,
48    XV|               Que dirons-nous du ver gris et des autres chenilles
49    XV|          assaillant de piquer le ver en un point quelconque,
50    XV|          un point quelconque, le ver tout nu, non moins faible
51    XV|         vient, en contournant le ver, tâtonner, du bout de l’
52    XV|        cadavre, aliment fatal au ver.~ ~ ~ ~La Scolie à deux
53    XV|    sécurité de l’œuf ou du jeune ver. Si je lui saisis une patte,
54    XV|      exemple que voici.~ ~ ~ ~Un ver gris qui vient de recevoir
55    XV|          occasion et m’empare du ver. Les pattes de ce troisième
56    XV|         roseau. Ainsi se fixe le ver à la feuille de peuplier
57    XV|         vie, l’acheminement d’un ver à la forme parfaite ?~ ~ ~ ~
58  XVII|        figure de rhétorique ; le ver du Capricorne mange, à la
59  XVII| outillage et le crâne à part, le ver a la peau fine comme un
60  XVII|   déprime et s’aplatit au gré du ver. Les facettes supérieures
61  XVII|       bien inspirée en dotant le ver de bourrelets ambulatoires,
62  XVII|          longueur, la demeure du ver laisse un demi-canal où
63  XVII|        de la nourriture. Mais le ver du Capricorne n’a pas à
64  XVII|   naturelles, et j’y installe le ver. Le bois de cyprès est très
65  XVII|      bien apprécier le palais du ver dans cette monotonie du
66  XVII|  interprétées par l’intellect du ver ! Qu’ont apporté dans ce
67  XVII|   raisonne-t-il ? J’ai défini le ver du Capricorne un bout d’
68  XVII|          fournit la réponse : le ver a la somme de notions sensorielles
69  XVII|     résolue d’inspiration par le ver. Moins versé que lui dans
70  XVII|     tronc d’arbre. C’est donc au ver, dans sa sapience de bout
71  XVII|  délicate précaution du rustique ver en faveur de la tendre nymphe.~ ~ ~ ~
72  XVII|          interne, à la portée du ver. Quelle peut bien être la
73  XVII|    recherché en quels organes du ver réside le dépôt pierreux.
74  XVII|         barricade, l’industrieux ver a fini sa tâche. Il quitte
75  XVII|          est fort indifférent au ver, qui, très souple, se retourne
76  XVII|          porte devant lui. Si le ver oublie cette petite formalité ;
77  XVII|         appris ? Lui, rien ; son ver, beaucoup. Ce ver, si misérable
78  XVII|            son ver, beaucoup. Ce ver, si misérable en aptitudes
79 XVIII|      présente nulle part un seul ver ; toute la population est
80 XVIII|         de la nymphose. Alors le ver du cerisier quitte la superficie
81 XVIII|      nécessaire d’ajouter que le ver se couche et s’endort, pour
82 XVIII|     parfait est un cylindre ; le ver, large de thorax, rétréci
83 XVIII|       est tout le travail que le ver laisse à la charge de l’
84 XVIII|      dans quelques cas rares, le ver laisse-t-il au Bupreste
85 XVIII|        de la nymphose ; aussi le ver bouche-t-il le canal de
86 XVIII|          à l’insecte parfait, le ver ronge d’abord le dessous
87 XVIII|          l’ordinaire galerie. Le ver, non enclin au travail tenace,
88 XVIII|    providence ; ici l’enfant, le ver, est la providence de la
89 XVIII|         Dans ce cas, le tracé du ver est de courbure si régulière,
90 XVIII|     motifs de convenance dont le ver est le seul juge, motifs
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