Chap.

 1     V|               des nids, la pierre, le bois, le verre, les métaux, la
 2    VI|       corporation des travailleurs du bois, le plus robuste est le
 3    VI|    cylindrique qu’elle creuse dans le bois mort. Les solives de rebut
 4    VI|              une cloison de sciure de bois. Ainsi se poursuit le travail
 5    VI|          travaillent exclusivement le bois ? J’ai surpris le premier,
 6    VI|            répandu, s’établir dans le bois mort, mûrier, cerisier,
 7    VI|             des cloisons de sciure de bois. À l’exemple de la grosse
 8   VII|             forages pratiqués dans le bois par la larve du Cérambyx,
 9  VIII|             le puissant exploiteur du bois mort. Les amples galeries
10    IX|              apiaire qui travaille le bois et rien que le bois ? De
11    IX|      travaille le bois et rien que le bois ? De telles inconséquences
12    IX|            souillée par des sanies de bois pourri ? Quand il la malaxe,
13    IX|             les Lithurgues, forent le bois ; les Anthophores minent
14    IX|            feuilles, celui-là fore le bois, ce troisième gâche du ciment. »
15    IX|         pétrit aussi la boue, râpe le bois mort, gâche le mortier ;
16     X|              quel mineur. Le canal en bois, exempt d’humidité, baigné
17     X|            charpentier. Le travail du bois lui est, du reste, très
18     X|             Ainsi travaillent, sur le bois mort attendri, les Guêpes
19   XIV|      lointaine où je l’épiais dans le bois des Issards. Leur vol impétueux,
20   XIV|              qui ronge l’intérieur du bois, lui inspiraient méfiance
21  XVII|               massue, ma provision de bois de chauffage, un délassement
22  XVII|        travers d’esprit je préfère le bois vermoulu, chirouna, comme
23  XVII|            chirouna, comme il dit, au bois sain, bien meilleur combustible.
24  XVII|          cogne, les coins mordent, le bois craque. Qu’y a-t-il dans
25  XVII|         outres de feuillage ; dans le bois vivant, juteux de sève,
26  XVII|              chaleurs. La vie dans le bois est donc de trois ans. À
27  XVII|           taraudeurs qui demandent au bois le vivre et le couvert.~ ~ ~ ~
28  XVII|         rudement peine et sculpte les bois durs, doit posséder constitution
29  XVII|              affaire. Ce qui passe de bois dans son estomac supplée
30  XVII|               impossible. Mise sur le bois lisse de ma table, la larve
31  XVII|               grattant tout à côté le bois avec une pointe dure pour
32  XVII|              de sa demeure, il vit du bois qui lui donne le couvert.
33  XVII|               j’y installe le ver. Le bois de cyprès est très odorant ;
34  XVII|          aliment est sans variété, du bois de chêne pendant trois ans,
35  XVII|            lui semble en perforant le bois ; mais le Capricorne futur,
36  XVII|              larve est entrée dans le bois aussi déliée qu’un tronçon
37  XVII|               laborieux d’attaquer le bois neuf et de creuser droit
38  XVII|             octobre mes provisions de bois éclatées sous le coin. Les
39  XVII|             peine deux centimètres de bois à percer. Aucun ne sort.
40  XVII|               percer une épaisseur en bois de chêne !~ ~ ~ ~Nous voilà
41  XVII|              ligneux, de parcelles de bois haché ; à l’intérieur, un
42 XVIII|     population est cantonnée entre le bois et l’écorce. Là, c’est inextricable
43 XVIII|         superficie et pénètre dans le bois à la profondeur d’environ
44 XVIII|           porte de sortie. Au sein du bois, la larve se creuse enfin
45 XVIII| transformation, le premier remonte du bois vers l’écorce, le second
46 XVIII|           descend de l’écorce vers le bois ; le premier affronte les
47 XVIII|       cerisier. Sa larve vit entre le bois et l’écorce. Pour se transformer,
48 XVIII|             tronc, sous une couche de bois d’un millimètre à peine
49 XVIII|               infléchi. Une couche de bois qui n’a pas un millimètre
50 XVIII|              insignifiant feuillet de bois, puis l’écorce.~ ~ ~ ~Le
51 XVIII|           errante dans l’épaisseur du bois, le clapier large et de
52 XVIII|          millimètres de la surface du bois. L’érosion du feuillet intact
53 XVIII|           centre et pénètrent dans le bois dur, où elles se creusent
54 XVIII|              de percer une lamelle de bois, translucide tant elle est
55 XVIII|      libération avec une pâte fine de bois mâché très différente de
56 XVIII|              sa vie larvaire entre le bois et l’écorce. Aux heures
57 XVIII|         épiderme, puis creuse dans le bois un puits perpendiculaire,
58 XVIII|             cerisier, entre écorce et bois, le Chrysobothrys chrysostigma,
59 XVIII|        travail tenace, ne fore pas le bois. Il se borne à creuser un
60 XVIII|        clapier compactement bourré de bois digéré. Remarquons le tracé
61 XVIII|               d’écorce ou un reste de bois d’un millimètre à peine
62 XVIII|               une faible épaisseur de bois ou d’écorce. Par un revirement
63 XVIII|        sondages pénibles à travers le bois dur, il l’achemine aux suprêmes
64 XVIII|               pourriture, rondelle de bois sain. La plupart de mes
65 XVIII|              perforent le liège et le bois ramolli ; cela représente
66 XVIII|         essais, devant la rondelle de bois dur. Ainsi périssait le
67 XVIII|             sa vie errante au sein du bois, elle affectionnait les
68 XVIII|           aplanies au rabot.~ ~ ~ ~Le bois, tout en conservant sa structure,
69 XVIII|              agaric : ce n’est pas un bois tout pénétré du feutre du
70 XVIII|              courbe au delà duquel le bois reste intact, tantôt à l’
71 XVIII|               un passage à travers le bois. Ce que j’ai sous les yeux
72 XVIII|          aurait-il, pour traverser le bois, une courbe de moindre travail
73 XVIII|              son axe et d’attaquer le bois sur telle ou telle autre
74 XVIII|             larve se trouvait dans le bois des caisses à cartouches,
75 XVIII|       pourraient nous venir.~ ~ ~ ~Le bois, par sa structure, dirige-t-il
76 XVIII|              travers un centimètre de bois en plus ou en moins ? Serait-ce