Chap.

 1    XI|             illicites. Le ver de la Scolie, consommant sa larve de
 2   XII|         nous disent l’Ammophile, la Scolie, le Philanthe et les autres,
 3  XIII|             mettre, sous cloche, la Scolie en rapport avec sa proie.
 4  XIII|       patience. Voyons à l’œuvre la Scolie à deux bandes (Scolia bifasciata,
 5  XIII|           Bientôt l’attention de la Scolie s’éveille et se traduit
 6  XIII|           en posture de défense. La Scolie gagne la partie antérieure,
 7  XIII|            d’essais infructueux, la Scolie parvient à gagner la position
 8  XIII|            tourne sur elle-même. La Scolie laisse faire. Tenant bien
 9  XIII|             le bout du ventre de la Scolie sent que le point convenable
10  XIII|         aussi que l’aiguillon de la Scolie séjourne quelque temps dans
11  XIII|            d’importance moindre. La Scolie à deux bandes est un ardent
12  XIII|         enfin ils l’abandonnent. La Scolie ne déplace pas son gibier,
13  XIII|            de l’abri sous terre, la Scolie pourchasse-t-elle sans utilité
14  XIII|           besoins de la famille. La Scolie nous laisse perplexes :
15  XIII|       capture entre les pattes ; la Scolie ne tente rien.~ ~ ~ ~Réflexion
16  XIII|             est l’acharnement de la Scolie. J’ai vu la lutte se prolonger
17  XIII|         endolorie par la piqûre. La Scolie ne pique donc nulle part
18  XIII|                   Dans la lutte, la Scolie, courbée en arc, est parfois
19  XIII|            narguerait à son tour la Scolie, impuissante à la dérouler
20  XIII|             posture qui permet à la Scolie de monter à l’assaut et
21  XIII|        viens de faire capture d’une Scolie interrompue (Colpa interrupta,
22  XIII|        Lourde, gauche d’allures, la Scolie fait lentement le tour du
23  XIII|   préparatifs que nous a montrés la Scolie à deux bandes : l’hyménoptère
24  XIII|             fuir ; il s’enroule. La Scolie, de ses fortes tenailles,
25  XIII|         pattes et des mandibules la Scolie assujettit la pièce ; elle
26  XIII|           de Cétoine pour braver la Scolie à deux bandes, bien moins
27  XIII|             sous les poussées de la Scolie. Assaillie, la larve ne
28  XIII|             crocs mandibulaires. La Scolie la happe au hasard, l’enlace
29  XIII|      terminant, que l’attaque de la Scolie interrompue est bien moins
30  XIII|             ardente que celle de la Scolie à deux bandes. L’hyménoptère,
31  XIII|            passionnée de chasse, la Scolie à deux bandes ne dégaine
32   XIV|          autre ardent prédateur, la Scolie interrompue, a refusé la
33   XIV|           Anoxie ; pareillement, la Scolie à deux bandes n’a pas voulu
34    XV|            d’abord en témoignage la Scolie interrompue. Si le lecteur
35    XV| transversalement, à angle droit. La Scolie tient happé un point du
36    XV|             haut sous le menton. La Scolie voulait une proie inerte,
37    XV|      aliment fatal au ver.~ ~ ~ ~La Scolie à deux bandes pique un peu
38    XV|            toute son efficacité. La Scolie à deux bandes, en particulier,
39    XV|       aurait pas grand intérêt : la Scolie, tenue du bout des doigts,
40    XV|            millimètre laisserait la Scolie sans famille.~ ~ ~ ~J’ai
41    XV|          vient de nous apprendre la Scolie à deux bandes ; sa larve
42    XV|           Sphex, par exemple, d’une Scolie, d’une Ammophile ? Non,
43    XV|           Cétoine paralysées par la Scolie à deux bandes et portant
44    XV|             mois, les opérées de la Scolie se sont maintenues avec
45   XVI|           dard du Cerceris et de la Scolie nous acheminera-t-il au
46   XVI|                Le coup simple de la Scolie n’est pas moins merveilleux
47   XVI|              Et puis ? Admettons la Scolie comme le débutant, le fondateur
48   XVI|           coup double. Et la novice Scolie, qui piquait d’abord sous
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