Chap.

 1     V|    population il est vrai, sur le tronc des arbres, dans les anfractuosités
 2     V|    convenu tout aussi bien que le tronc d’un arbre indigène.~ ~ ~ ~
 3  XVII|  maintenant à nous deux, mon beau tronc de chêne couturé de cicatrices,
 4  XVII|        distendu, qui sortiront du tronc au retour des chaleurs.
 5  XVII|         ténébreuse épaisseur d’un tronc d’arbre ? – L’ouïe manque
 6  XVII|       divague dans l’épaisseur du tronc ; elle monte, elle descend,
 7  XVII|            Éclos à l’intérieur du tronc, l’animal haut encorné saura-t-il
 8  XVII|       pour quitter l’intérieur du tronc, est dans l’impossibilité
 9  XVII|          à sortir par lui-même du tronc d’arbre. C’est donc au ver,
10 XVIII|         série des longicornes. Le tronc, exploré dans son épaisseur,
11 XVIII|         elle ronge l’extérieur du tronc sous le mince couvert de
12 XVIII|          les couches profondes du tronc ; celui du cerisier habite
13 XVIII|        Elle habite l’intérieur du tronc. Aux approches de la transformation,
14 XVIII|     Parallèlement à la surface du tronc, sous une couche de bois
15 XVIII|        larve ronge l’intérieur du tronc. Pour la nymphose, elle
16 XVIII|           exploite l’intérieur du tronc en galeries très déprimées,
17 XVIII|        abord parallèle à l’axe du tronc, s’infléchit en un coude
18 XVIII|       éléments voulus. C’était un tronc de peuplier mort, criblé,
19 XVIII| intéressant le diamètre entier du tronc, les galeries de l’habitant
20 XVIII|           quitte pas le centre du tronc, séjour plus tranquille,
21 XVIII|           séjour à l’intérieur du tronc, facilite la future sortie
22 XVIII|        fait non loin du centre du tronc. L’insecte est placé dans
23 XVIII|           le sens longitudinal du tronc, il est clair que l’adulte
24 XVIII|   lignicole dans l’épaisseur d’un tronc ? A-t-il sa boussole ? On
25 XVIII|          enfin ? Non, car dans un tronc debout la sortie se fait
26 XVIII|             Non, toujours, car le tronc du peuplier nous montre