Chap.

 1    II|     trait culminant la méthode d’attaque ; aussi me suis-je efforcé
 2    II| impraticable dans la fougue de l’attaque ? Aurions-nous affaire,
 3     X|      sujets. Peu se refusent à l’attaque, et chaque fois trois coups
 4    XI|  meurtrier choisit comme point d’attaque le dessous du menton afin
 5    XI| Convenons aussi que sa posture d’attaque, bien différente de celle
 6    XI|       par exercice prolongé de l’attaque, l’autre devrait savoir
 7    XI|          Philanthe. La posture d’attaque et de protection est abandonnée,
 8    XI|   Philanthe a-t-il appris pour l’attaque ce que l’abeille n’a pas
 9    XI|       Scolies. Le ver, en effet, attaque sa proie en un point déterminé,
10   XII|           loin de là, quand on l’attaque comme il doit être attaqué :
11   XII|         son gibier, ses points d’attaque, son escrime ; mais au milieu
12   XII|        cloche. Habituellement, l’attaque est assez prompte. La chenille
13   XII|         reprises : au début de l’attaque, et puis quand l’hyménoptère
14   XII|         capture sur le jasmin. L’attaque ne tarde pas. La chenille
15  XIII|         a montré tel entrain à l’attaque dans des conditions artificielles.
16  XIII|       des antennes. Et hardi ! L’attaque commence. Inhabile à se
17  XIII|          légèrement le cirque. L’attaque reprend de plus belle. La
18  XIII|      Disons, en terminant, que l’attaque de la Scolie interrompue
19   XIV|     reprises je suis témoin de l’attaque, et jamais rien de grave
20   XIV|       quelque valeur tant dans l’attaque que dans la défense. Une
21   XIV|  craintive et se prête mieux à l’attaque. D’ailleurs, dans les gênes
22   XIV|        quand ils se décident à l’attaque. L’un de mes sujets les
23    XV|      redoutable, difficultueux d’attaque, certes c’est la bouche
24   XVI|    contre la poitrine, prêts à l’attaque, retombent inertes et ouverts.
25  XVII|  tranchant, il creuse le front d’attaque du couloir. Le morceau taillé
26 XVIII|     succombent devant le front d’attaque. Tous enfin périssent, après