Chap.

 1    VI|           pourvoir elle-même à la nourriture de sa famille et d’isoler
 2     X|        ver naissant a toujours la nourriture sous les mandibules, et
 3     X|      comme appoint de leur propre nourriture. Le miel que je leur sers
 4    XI|          épice de loin en loin la nourriture courante puisée à la buvette
 5    XI|        ration congrue. Sans autre nourriture que le sirop extrait des
 6    XI|       reçoit, par intervalles, la nourriture nécessaire à mesure qu’elle
 7    XI| simplement d’inanition devant une nourriture insolite, qui répugne à
 8    XI|       organisme ne supportant pas nourriture trop substantielle, trop
 9    XI|         une gouttelette de sirop, nourriture légère entre toutes, propre
10    XI|           naturel avec mélange de nourriture animale. L’appoint de mes
11    XI|       passeraient pas mieux si la nourriture n’avait pas été modifiée
12    XI|      livrés à eux-mêmes, usent de nourriture animale. Ainsi se continue
13    XI|  stomacales acquises, s’adopte la nourriture végétale, de chimie plus
14    XI|          recherches pénibles, une nourriture inépuisable : l’exsudation
15    XI|  chanceuse. Il a inventé le miel, nourriture des larves. Renonçant pour
16   XIV|        lorsque la famille réclame nourriture. Hors de ces périodes, la
17    XV|        provenait pas du défaut de nourriture tout autant que de l’opération
18   XVI|       estropiée, qui refuse toute nourriture, dans l’impossibilité où
19  XVII|           pour la recherche de la nourriture. Mais le ver du Capricorne
20  XVII|        calcaire. Il l’isole de la nourriture, soit tel quel, soit dérivé