Chap.

 1     X| cadavres ? Pas du tout ; leur inertie profonde n’exclut pas un
 2     X|        des larves paralysées. Inertie totale de la victime, sauf
 3     X|      pas dépassé le ventre. L’inertie n’est indispensable qu’en
 4     X|       l’odieuse mutilation. L’inertie complète par le fait des
 5    XI|     Ce qui me frappe, c’est l’inertie soudaine des antennes et
 6    XI|   conclusion de cette brusque inertie s’impose : l’insecte a poignardé
 7   XII|       s’y maintenait ancré. L’inertie des robustes crocs, unique
 8   XII|    mordillant la nuque. Cette inertie est provisoire ; elle se
 9  XIII|      L’effet est instantané : inertie totale, sauf dans les appendices
10   XIV|    frappe avant tout, c’est l’inertie absolue des crochets, que
11   XIV| croyant se protéger, simule l’inertie cadavérique ; l’assaillant
12    XV|  faite d’une façon normale, l’inertie soudaine des six pattes
13    XV|      lésé pour amener ainsi l’inertie profonde des crocs venimeux ?
14    XV|    voisinage en déterminant l’inertie de ces appendices. Les palpes
15    XV|     plus ces signes de vie. L’inertie est complète ; néanmoins
16   XVI|    prédateurs, c’est-à-dire l’inertie avec persistance d’une sourde
17   XVI|    être envahi lui-même par l’inertie de la mort. Cette persistance
18   XVI|  retard, exige, dès le début, inertie complète de la proie. Dès
19   XVI|  vient à casser. D’habitude l’inertie des pattes ravisseuses gagne