Chap.

 1    Av|        mouton.~ ~ ~ ~Bref, si mes premières études me mirent au courant
 2     I|         met à fonctionner dès les premières bouchées ; elle cesse son
 3     I|  puissance de digestion ! Dès les premières bouchées, les résidus se
 4    II|           exposé aux méprises des premières bouchées. Tout étant pareil
 5    II|        encore dans les nuages des premières années, enfin aussi rapprochées
 6    IV|         bouchées périlleuses, les premières sont les plus redoutables,
 7     V|           Les probabilités de mes premières recherches font place aux
 8     V|  philosophiquement sous terre les premières rudesses de l’hiver. En
 9     V|         le mois de septembre, aux premières pluies, préludes de l’automne,
10     V|        forcément attendre que les premières pluies ramollissent son
11    VI|          pour se libérer, que les premières pluies de septembre lui
12   VII|         sous-sol.~ ~ ~ ~C’est aux premières pluies d’automne, en septembre,
13  VIII|                  Quelles sont tes premières bouchées ? D’habitude je
14  VIII|       mère ? Je l’ai cru dans mes premières études sur le Scarabée.
15  VIII|           Le vermisseau, dans ses premières bouchées, peut y trouver
16  VIII|         souffle. Mais bientôt les premières bouchées seront prises,
17    IX|        Accourus par escouades aux premières nouvelles de l’événement,
18    IX| difficulté en ruines lorsque, aux premières pluies de septembre, l’insecte
19    IX|        trop grande. Il attend les premières ondées de septembre, qui
20    XI|         et octobre, alors que les premières pluies automnales imbibent
21   XII|      intarissable fienteur de nos premières études disparaît, remplacé
22   XII|          par les pattes. Les deux premières paires sont assez longues,
23   XII|          se montrent, en mai, les premières nymphes.~ ~ ~ ~En second
24   XII|          frigide et trottiner aux premières caresses du soleil. En avril,
25   XII|           mai que j’ai obtenu les premières nymphes.~ ~ ~ ~Quatre à
26   XIV|     solstice d’été paraissent les premières Cigales. Sur les sentiers
27   XVI|       Cicada pymœa Oliv. Les deux premières sont extrêmement communes ;
28   XVI|          dans les intervalles des premières. Les opercules sont petits,
29  XVII|          longue et lisse. Or, les premières années de mon séjour ici,
30  XVII|           aisément. J’entends les premières Cigales vers le solstice
31 XVIII|        transversales, coupent les premières à angle droit et forment
32 XVIII|          enfin suffisante dès les premières bouchées. Bientôt ruades