Chap.

 1    Av|   hypogées aux tièdes moiteurs. Mille et mille métiers analogues
 2    Av|       tièdes moiteurs. Mille et mille métiers analogues aux nôtres,
 3    Av|               Depuis six à sept mille ans que le curieux pilulaire
 4    Av|      noir emmêlé, que souillent mille graines crochues ; il n’
 5     V|       pendable lorsque, quelque mille ans après, des maîtres comme
 6   VII|    inconnu qui nous enveloppe ; mille et mille questions surgissent
 7   VII|       nous enveloppe ; mille et mille questions surgissent sans
 8  VIII|          qui sacrifient souvent mille pour conserver un : elles
 9     X|        l’arbre qui le portait ; mille et mille autres reliques
10     X|       qui le portait ; mille et mille autres reliques analogues,
11  XIII|  oliviers ; il sait, l’ayant vu mille fois sur le bord des sentiers,
12    XV|       puissante vessie, tant de mille badauds parisiens, sans
13  XVII|       la vie.~ ~ ~ ~J’entrevois mille dangers pour elle. Un souffle
14   XXI|       elle peut en procréer par mille, la Mante au ventre rebondi :
15   XXI| peut-être l’Homme. Elle procrée mille, un peu pour se perpétuer,
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