Chap.

 1     I|          instinct botanique de la mère n’a pas besoin d’aide. À
 2     I|        dépense la vie entière, la mère seule travaille, excédée
 3     I|          bon à cueillir ce que la mère, mieux entendue, mettrait
 4     I|         leur disposition. Père et mère, de concert, manipulent
 5     I|      évaporation trop prompte. La mère, reconnaissable à sa taille
 6     I|           la toile métallique, la mère tire à elle, entraîne le
 7     I|            tombent. D’en haut, la mère regarde un instant, surprise,
 8     I|        des heures.~ ~ ~ ~Enfin la mère, jugeant la chose bonifiée
 9     I|     laborieux.~ ~ ~ ~Cependant la mère a fait choix de l’emplacement.
10     I|      dessaisit pas, tandis que la mère fouille des pattes et du
11     I|          l’ébauche de cuvette. La mère, en dessous, enlace et tire ;
12     I|        serait d’aucun secours, la mère retarde habituellement sa
13     I|       terrier. Tout autant que la mère, le père travaille à l’extraction
14     I|     veille sur le pain lorsque la mère s’absente à la recherche
15     I|         concernant la famille, la mère Scarabée n’a pas d’auxiliaire.
16     I|   suffisante aux évolutions de la mère autour de son ouvrage. Par
17     I|          la surface bien avant la mère.~ ~ ~ ~Le contenu de la
18     I|        travaillant à l’égal de la mère. Des charges de famille
19    II|        demeure effractionnée ; la mère ne bouge pas, accroupie
20    II|        tous les instants. Père et mère, vigilants gardiens, n’abandonnent
21    II|         moins évidente lorsque la mère taille sa miche en rations,
22    II|     repris et perfectionné par la mère ? Connaît-il l’art de calfeutrer
23    II|         les soins que prodigue la mère isolée dans les terriers
24    II|     femelle ; mais, tandis que la mère bien des fois persistait
25    II|          rivalise presque avec la mère dans les soins du ménage
26    II|         du Copris espagnol, où la mère seule séjourne, se trouvent
27    II|           pain sur la planche, la mère peut doubler, et au-delà,
28    II|         ne pas trop décourager la mère par mes rapts. Ne trouvant
29    II|         en soit la confection. La mère, que la torpeur gagne, se
30    II|           repos que lui laisse la mère, occupée à la délicate confection
31   III|          avec le même zèle que la mère, travaille à l’établissement
32   III|          père vienne en aide à la mère ? Le travail à deux donnera
33   III|           mes parents directs. Ma mère, absolument illettrée, n’
34    IV|          Sept Douleurs, la divine mère désolée qui entr’ouvre son
35     V|     démenti ; il me montrerait la mère occupée seule de l’établissement
36     V|          lissée à l’intérieur. La mère, avec des soins méticuleux,
37     V|      pénétrer dans le coffret. La mère prévoit le danger. Elle
38     V|     berceaux, et toujours père et mère présents. Que font-ils là,
39   VII|           qui lutine un moment la mère, puis l’abandonne au souci
40   VII|        dont le rôle est fini ; la mère Dectique volontiers grignote
41    IX| allégresses, et suivons la future mère errant d’un pas grave avec
42    IX|        pariade, lorsque la future mère porte, fixée sous la base
43    IX|          encore pleins de vie. La mère Dectique, la Sauterelle
44     X|     campée sur les six pattes, la mère infléchit le ventre en demi-cercle,
45     X|           la position normale. La mère s’accorde un moment de repos
46     X|         pour le total d’une seule mère. Ils sont d’un gris pâle,
47    XI|          blotti sous l’aile de sa mère. Silencieux d’habitude,
48   XII|          dans sa tendresse, où la mère se refuse d’aller ; il se
49   XII|          Le festin terminal de la mère Dectique se retrouve ici
50  XIII|     satisfaction. Je surprends la mère immobile, avec l’oviscapte
51  XIII|    centaines la ponte d’une seule mère. Telle famille subira certainement
52  XIII|      amené par la fécondité de la mère. Quelques couples survivant
53   XIV|       cette aversion féroce de la mère contre le père, même chez
54   XIV|           la vraie laborieuse, la mère.~ ~ ~ ~Que plus tard, dans
55   XVI|       besoin un point d’appui, la mère se choisit lieu convenable
56   XVI|         accomplit.~ ~ ~ ~Voici la mère installée, à demi ensevelie.
57   XVI|    longtemps regarde, curieux, la mère en gésine. Parfois encore
58   XVI|          minutes d’immobilité, la mère brusquement se dégage et
59   XVI|      maternelles sollicitudes. La mère Criquet n’est pas un modèle
60   XVI|          l’emplacement du nid. La mère quitte alors les lieux,
61   XVI|          d’assez longue durée. La mère, comme d’ailleurs, à des
62   XVI|      dehors ne la trahit, tant la mère est immobile, le ventre
63   XVI|          de clôture parachevé, la mère s’écarte, sans plus se préoccuper
64   XVI|       trentaine environ : mais la mère a plusieurs pontes.~ ~ ~ ~
65   XVI|         spécial, aux ordres de la mère. Déterminé par le seul jeu
66   XVI|          cheminée d’ascension. La mère, son ventre plongé dans
67   XVI|     dessous ? L’art aveugle de la mère y a pourvu.~ ~ ~ ~À sa naissance,
68   XVI|           émersion, ouvrage de la mère, la majorité succomberait.~ ~ ~ ~
69 XVIII|        est le groupe d’œufs d’une mère.~ ~ ~ ~Les feuilles du pin
70 XVIII|        défensif est évidente : la mère s’est déplumé une partie
71 XVIII|      Belle famille pour une seule mère !~ ~ ~ ~Les œufs d’une file
72 XVIII|    intéressant de voir comment la mère obtient cette coordination
73   XIX|          condensée la ponte d’une mère suffirait à peupler une
74   XIX|     connaissent pas la propriété, mère de la bataille ! Oh ! les
75   XIX|      lutte pour le présent. Toute mère a pour loi primordiale la
76   XIX|        des collaborateurs. Chaque mère y pétrit ses pots à miel ;
77   XIX|           chaque ruche, une seule mère. S’il y en a deux, la guerre
78   XIX|   prodigieuse famille de l’unique mère. Ici le communisme règne
79  XXII|        est la toison d’or dont la mère se dépouillera pour couvrir
80  XXII|   satisfaisante, le travail de la mère sur les pins du jardin.~ ~ ~ ~
81  XXII|          subtiles manœuvres de la mère mettant en place ses écailles.