Chap.

 1     I|            forestière où se dressent quatre chênes hauts d’un pan, munis
 2    II|          seule séjourne, se trouvent quatre nourrissons tout au plus,
 3    II|             dit comment aux trois ou quatre ovoïdes je substituais une
 4    II|          Sarrasin, hordes venues des quatre vents du ciel. Et ce mélange
 5    II|          assez pour six, ni cinq, ni quatre, on vit à trois, à deux,
 6   III|             banc, planche de sapin à quatre chevilles boiteuses. Nous
 7    IV|           tous les points libres des quatre murailles.~ ~ ~ ~J’étais
 8    IV|      surveillance un vieux château à quatre tours, devenues colombiers ;
 9    IV|              l’externat. Nous sommes quatre à surplis blanc, à calotte
10     V|          carré de cailloux enclos de quatre murs.~ ~ ~ ~Le Ciel me garde
11   VII|        instants après, accompagné de quatre autres de ses pareils, qui
12   VII|            rare. En trouver trois ou quatre au printemps, c’est tout
13   VII|             par deux, par trois, par quatre, empaquetés dans quelques
14   VII|       attente ne fut pas longue. Les quatre vents du ciel portèrent
15   VII|      expérimentation, commencée avec quatre sujets, se poursuivit avec
16   VII|      conditions d’un travail facile. Quatre Nécrophores, trois mâles
17   VII|    Nécrophores, le couple, pas plus. Quatre ont collaboré à l’enfouissement.
18   VII|              plaque rousse, armée de quatre spicules dont l’office est
19  VIII|            Bousier convoque trois ou quatre de ses voisins qui, bénévoles,
20  VIII|             il revient, dit-on, avec quatre auxiliaires ? Quel signe
21  VIII|          eussent et pas été de trop. Quatre autres Nécrophores terrés
22  VIII|           seul, souvent deux, trois, quatre, rarement davantage, s’occupent
23    IX|             une baie de gui, outre à quatre poches délimitées par de
24    IX|              me rendre à l’évidence. Quatre fois, l’une après l’autre,
25    IX|            traînant leur sacoche, et quatre fois je les ai vues l’arracher
26     X|         flancs de l’épousée ; de ses quatre pattes antérieures, souvent
27   XII|       diaphane, ovalaire, de trois à quatre millimètres, supportée par
28  XIII|          moins le faire prévoir. Les quatre Grillons presque identiques,
29   XIV|            Le premier porte en outre quatre ou cinq chevrons de consolidation ;
30   XIV|              ébranlent à la fois les quatre tympanons, ceux d’en bas
31   XIV|            le Grillon, possesseur de quatre aires vibrantes, lance à
32   XIV|        archet supérieur et celui des quatre aires sonores qu’il ébranle ;
33   XIV|          élytres futures lui forment quatre menues basques qui, par
34   XIV|       opposée, ou bien sur l’une des quatre nervures lisses et rayonnantes.
35    XV|            Saint-André que dessinent quatre traits blancs, obliques.
36    XV|             coups d’archet, trois et quatre fois répétés et espacés
37    XV|        avenir, elle porte sur le dos quatre étuis où sommeillent les
38   XVI|           armée au bout du ventre de quatre brefs excavateurs, disposés
39   XVI|             à l’axe du corps. De ses quatre trépans, elle mord sur le
40   XVI|             perforateur, la vrille à quatre mèches ; malheureusement
41   XVI|              molle argile.~ ~ ~ ~Les quatre trépans doivent ouvrir le
42   XVI|            visiter.~ ~ ~ ~À trois ou quatre centimètres de profondeur,
43   XVI|     dimensions atteignent de trois à quatre centimètres de longueur
44  XVII|            si je touche au treillis. Quatre minimes crocs de romaine
45  XVII|        élytres et les ailes. Ce sont quatre loques étroites, vaguement
46  XVII|            animal suspendu renversé. Quatre folioles d’un herbage charnu,
47  XVII|          acérées et dures. En outre, quatre forts éperons la terminent
48  XVII|            minutieux et si long, les quatre crochets n’ont pas cédé,
49  XVII| transformation. Il s’y fixe avec les quatre pattes antérieures. Alors
50  XVII|              cimier qui se dresse en quatre lames planes prend consistance
51  XVII|            peu en arrière.~ ~ ~ ~Les quatre moignons, issus de leurs
52  XVII|           étuis, qu’étaient donc les quatre lames de gaze ? Les spatules
53 XVIII|          centimètres de longueur sur quatre à cinq millimètres de largeur.
54 XVIII|              temps à autre, trois ou quatre des repues se rangent à
55 XVIII|             centimètres, sur trois à quatre millimètres de largeur.
56    XX|             glisse sous la corniche. Quatre le suivent. Les autres,
57    XX|         demi-kilomètre et de trois à quatre cents tours ne leur apprend
58  XXII|         entre les yeux et plus haut, quatre ou cinq lamelles transversales,
59  XXII|         quand on a fendu la fibre en quatre et débité la cellule par
60 XXIII|             de papier buvard plié en quatre et formant un carré qui
61  XXIV|              et de soie, les trois à quatre mois les plus rudes se passent
62  XXIV|             de papier buvard plié en quatre et je l’applique à la face
63  XXIV|             bûcherons ! J’ai à peine quatre centimètres carrés de la
64   XXV|            de papier buvard, plié en quatre pour augmenter l’épaisseur
65   XXV|            ambré, sorte de buisson à quatre ou cinq branches. Le papillon
66   XXV|            qui persiste des trois et quatre mois, alors que depuis longtemps