Chap.

 1    IV|      avec mes instincts. Si l’animal n’a pas tenu à mon égard
 2    IV| instinct lorsqu’on parle de l’animal est l’analogue du génie.
 3     V|    les déchets digestifs de l’animal vivant ; et le pilulaire
 4     V|   milieux pour faire varier l’animal au gré de nos théories.
 5     V|  deviennent trop exigeants, l’animal proteste contre les violences
 6   VII|    Avant de faire raisonner l’animal, raisonnons un peu nous-mêmes ;
 7  VIII|  exercice de son industrie, l’animal est toujours prémuni en
 8    IX|      facile passage du régime animal au régime végétal.~ ~ ~ ~
 9     X| régime alterne du végétal à l’animal. Le cannibalisme est même
10    XI|   nouvelle. Le double régime, animal et végétal, est très heureuse
11  XIII|      d’être cornu. Le prudent animal fait ses paquets, décampe.~ ~ ~ ~
12  XIII|       il est vrai que, chez l’animal comme chez l’homme, des
13    XV|   place au réfectoire, chaque animal dépense sa plus grande somme
14    XV|  travail de la plante et de l’animal ; méfions-nous de la brutale
15    XV|  stimulant de la nécessité, l’animal a fini par acquérir tel
16  XVII|  maintenant vers la tête de l’animal suspendu renversé. Quatre
17  XVII|       libre vers la tête de l’animal renversé. En ce moment,
18   XIX|    effort, d’une industrie, l’animal reçoit sa part de l’élément
19   XIX|      une recherche. Le régime animal, au contraire, la proie,
20    XX| mouton, le plus sot et inepte animal du monde, estre tousiours
21   XXI|      bâille à la volonté de l’animal, ou bien se referme sans
22   XXI|       le dit.~ ~ ~ ~Certes, l’animal ne s’est pas prémuni contre
23   XXI|     disparaissant au gré de l’animal, sont des instruments de
24   XXV|       travail accompli dans l’animal transfiguré. Ces ruines-là
25   XXV|  recourir à l’auxiliaire de l’animal, du cobaye, par exemple,
26   XXV|    compte de leur reproche. L’animal est un stoïque. Il ne dit