Chap.

 1    IV|     bas, l’école. Au midi, une fenêtre, la seule de la maison,
 2    IV|         la seule de la maison, fenêtre étroite et basse dont le
 3    IV|  tempête.~ ~ ~ ~À droite de la fenêtre, dans l’embrasure, voici
 4    IV|        salle, devant l’étroite fenêtre où le Juif errant et le
 5    IV|        aux enfants, une petite fenêtre pareille à celle de l’école,
 6    IV|      Je ne pouvais jouir de la fenêtre de l’école que de loin en
 7    IV|    aménagée en fontaine. De ma fenêtre s’entendaient le caquet
 8    IV|       contre l’embrasure de ma fenêtre. La niche, avec le siège
 9     V|        hasard en un coin de sa fenêtre ; Xavier de Maistre, usant
10     V|      flottantes des rideaux de fenêtre, mobile appui de ses nids.
11    IX|      la volière établie sur la fenêtre de mon cabinet, je sers
12    XI|       douceur. J’accourus à la fenêtre. Les orphéonistes étaient
13    XI|      qui donne en plein sur la fenêtre, voici mes petits Dectiques
14  XIII|  habitation, des simulacres de fenêtre qui font pendant à des fenêtres
15   XIV|    commode sur le rebord d’une fenêtre. Pour une journée de séjour
16   XIV| appendus contre le cadre d’une fenêtre ?~ ~ ~ ~Leurs successeurs
17 XVIII|  travail, j’ai installé sur la fenêtre de mon cabinet quelques
18 XVIII|     que le soleil donne sur la fenêtre, que les petites chenilles
19 XVIII|     soleil gagne le coin de la fenêtre où se fait la tendre éducation.
20 XVIII|      le soleil a disparu de la fenêtre, le troupeau quitte son
21   XIX| suivant un méridien. Une large fenêtre s’ouvre qui permet de voir
22   XIX|   certainement de cette énorme fenêtre qui laisse libre entrée
23   XIX|        hiver, rien de plus. La fenêtre ouverte par mes ciseaux
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