Chap.

 1     I|        mon écrasant fardeau, le pain de chaque jour ; et la miche
 2     I|       trimbale son bloc, tantôt pain à lui, tantôt pain de ses
 3     I|       tantôt pain à lui, tantôt pain de ses fils. Il est très
 4     I|   habituel, pomme et morceau de pain. Le mois de mai s’approche ;
 5     I|    charroi, à l’enfournement du pain des fils. Avec le couperet
 6     I|      est moi qui l’ai pétri, ce pain mollet si rond ; c’est moi
 7     I|       pourrait arriver au petit pain abandonné sur le seuil du
 8     I|         vrai ; il veille sur le pain lorsque la mère s’absente
 9    II|         de la place libre et du pain sur la planche, la mère
10    II|     apportaient leur morceau de pain au frugal repas. Tandis
11   III|    bouillon, de quoi tremper le pain ; puis, dominant l’écuelle
12    IV|  adjoignaient à leur morceau de pain ; car il faut dire que si
13    IV| empressait d’émietter un peu de pain aux gentils visiteurs. On
14    IV|        sur nous, implacable. Le pain menace de manquer à la maison.
15     V|    mordent immédiatement sur le pain tendre qui de partout les
16    XV|     gravement médite la tête en pain de sucre du Truxale ; il
17    XV|       sans immondes résidus. Le pain sera une pilule, le bifteck
18   XVI|         est un cône allongé, un pain de sucre, dont la pointe,
19   XIX|          Tant qu’une bouchée de pain sera acquisition difficultueuse,
20   XIX|         à supprimer l’effort du pain quotidien pour nous et pour