Chap.

 1   III|        le génie, la bosse des sons.~ ~ ~ ~Un troisième, bambin
 2    XI|     de prototype. Certes, les sons ne manquent pas, faibles
 3    XI|       La nature a de superbes sons ; elle n’a pas de musique.~ ~ ~ ~
 4    XI|      avec lui, l’attribut des sons coordonnés d’où dérive l’
 5    XI|    harmonie, m’arrivèrent des sons étranges, d’une rare douceur.
 6    XI|       dignes de ces ruines de sons. Je n’assistais pas à la
 7    XI|     faits naturels, l’art des sons est changeant ; avec nos
 8    XI|         Dans cette genèse des sons, impossible d’affirmer une
 9    XI|     débutèrent dans l’art des sons et s’avisèrent de chanter
10    XI| métallique, sur la limite des sons perceptibles. Le ventre,
11    XI|       autre, la faiblesse des sons me permet à peine d’entendre
12   XII| devenir sensible la magie des sons. C’était une série de lames
13   XII|      ni queue ni tête ; comme sons purs, c’est délicieux. Il
14   XII|  oreille y trouve de superbes sons, puis s’affine et acquiert,
15   XIV|   méfie.~ ~ ~ ~L’illusion des sons faibles ou forts, éclatants
16   XIV|  facile à découvrir. Pour les sons éclatants, les élytres sont
17   XIV|     plein relevées ; pour les sons étouffés, elles sont plus