Chap.

 1    II|        Copris espagnol. Je sers le mets national, l’opulente fouace
 2     V|        cuisine du Phanée Milon. Le mets servi à la larve est une
 3     V|      stomacale, non rebutée par un mets grossier, la larve ratisse
 4     V|        Déposé sans compression, le mets restera libre, dépourvu
 5   VII|            autre estomac, sont ici mets de haute énergie qui stimule
 6  VIII|    déplacement. Pour l’obtenir, je mets en réquisition amis et voisins,
 7    IX|           peine, Ce n’est pas leur mets.~ ~ ~ ~Peut-être à leurs
 8     X|         observations en projet, je mets une pincée d’œufs pris dans
 9   XII|         verte ne trouverait pas le mets qui la passionne ici. Elle
10   XII|             Peut-être parce que le mets nuptial s’était par trop
11    XV|          maigre gramen converti en mets exquis. Volontiers je dirais
12    XV|            d’un cran ; essayons le mets d’Omar et de saint Jean-Baptiste.~ ~ ~ ~
13    XV|           se laisse tenter par des mets antiques, celui des Cigales
14  XXII|          de cocons est faite. J’en mets de dix à douze au fond de
15 XXIII|           de se chrysalider, et je mets les deux lots infuser isolément
16   XXV| fondamentale que la précédente. Je mets infuser, une paire de jours,
17   XXV|      taches les plus riches, et je mets macérer dans l’éther ma