Chap.

 1   III|        je vois des bouquets de grosses cerises rouges. J’y goûte.
 2     V|           L’insecte presse les grosses lèvres de la coupe argileuse,
 3    XI| remarquable par ses longues et grosses cuisses postérieures, ainsi
 4    XI|       bords en sont gaufrés de grosses nervures pâles, formant
 5    XV|    ruent entre nos doigts ; de grosses gigues, ressort qui fait
 6    XV|     chante son couplet. De ses grosses cuisses postérieures, tantôt
 7    XV|    brun clair ; ventre jaune ; grosses cuisses d’un rouge corail
 8    XV|        a bien les archets, les grosses cuisses d’arrière ; mais
 9   XVI|       deux refouloirs sont les grosses cuisses qui, s’élevant et
10   XVI|       fortement infléchie. Les grosses cuisses postérieures sont
11   XVI|    jambes se replient sous les grosses cuisses, et le ressort est
12  XVII|  postérieures se dégagent. Les grosses cuisses se montrent, teintées
13   XXI|        d’une sorte de bouche à grosses lèvres, qui s’ouvre et bâille
14 XXIII|       ouvrant et fermant leurs grosses lèvres, mâchent, triturent
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