Chap.

 1     I|           ne quittent la pièce que lorsque le ventre distendu soulève
 2     I|   importunité de la lumière.~ ~ ~ ~Lorsque le logis est jugé de longueur
 3     I|            l’entrée que plus tard, lorsque la Cigale sera digérée et
 4    II|          ombre, reprend l’activité lorsque je le transporte de ma table
 5   III|        géant ne remue d’une heure, lorsque le Scarite lisse, un nain,
 6   III|           pour une longue période, lorsque le Bupreste éclatant, encore
 7   III|         autrefois sur les dindons, lorsque la fermière, à notre poursuite,
 8    IV|      satisfaction n’est pas petite lorsque le disque de bronze ou d’
 9     V|           en fer-blanc. Plus tard, lorsque la période d’alimentation
10     V|     parallèle à l’axe du capitule. Lorsque, chose non rare, trois cellules
11     V|          rapporte à leur prestesse lorsque ma curiosité leur vaut libération
12     V|          de déguerpir au plus vite lorsque vient l’arrière-saison.
13    VI|            son habituel entourage. Lorsque depuis longtemps le beau
14    VI|            examen des lieux le dit lorsque le travail est fini. Entre
15   VII|            n’a rien à humer.~ ~ ~ ~Lorsque, aux lueurs crépusculaires
16   VII|            de son premier aliment, lorsque nous-mêmes, non refondus
17   VII|          faciliter les recherches. Lorsque, au retour de la chaleur,
18   VII|          la carline ferme sa fleur lorsque l’air est humide ; elle
19   VII|           soleil d’écailles dorées lorsque l’air est sec. Avec l’élégance
20  VIII|       reprises. Ainsi faisons-nous lorsque, d’un mouvement alternatif
21  VIII|         pondeuse. Quel est son but lorsque, avant de procéder au forage,
22  VIII|            en dehors de la cupule. Lorsque l’œuf doit être pondu, la
23  VIII|          cette tenace persévérance lorsque, non loin du pédoncule,
24  VIII|             c’est événement majeur lorsque le tambour municipal annonce
25  VIII|       dissipe. Je cueille le gland lorsque la mère se retire après
26  VIII|           rien n’apparaît non plus lorsque, l’œuf mis en place, l’instrument
27    IX|            trou de sortie s’achève lorsque je m’aperçois de la prochaine
28    IX|        passe, si obèse qu’il soit. Lorsque la libération est terminée,
29    IX|     paisiblement un peu plus tard, lorsque la noisette gît à terre,
30    IX|            la boîte de la noisette lorsque viendront les pluies de
31    IX|           ouvrir porte suffisante, lorsque le ver, bien mieux outillé,
32     X|           ne dégage une griffe que lorsque les cinq autres sont fermement
33     X|      sillons.~ ~ ~ ~Plus rarement, lorsque sans doute la feuille est
34     X|       persiste ; elle ne cesse que lorsque les ovaires sont épuisés.
35    XI|          me méfiais tant au début, lorsque, pour l’éviter, je tenais
36   XII|    suspendre la vie de longs mois, lorsque les provisions n’ont plus
37  XIII|          ses moyens de libération. Lorsque, toute la croissance acquise,
38  XIII|          aptitudes. Qu’est-ce donc lorsque, aux dissemblances des instincts,
39  XIII|        pour construire le complexe lorsque le simple suffit. Informons-nous
40  XIII|         rapports avec l’extérieur, lorsque la larve vit dans un milieu
41   XIV|     devient réceptacle à vidanges. Lorsque le feuillage est brouté,
42   XIV|           de la future houppelande lorsque l’étoffe, mûrie à point,
43    XV|     asperge, devenu ballon d’opale lorsque le ver l’a vidé, n’a pas
44    XV|            exploiter le ver.~ ~ ~ ~Lorsque tout semblait présager vie
45    XV|       forme, même structure.~ ~ ~ ~Lorsque, après une station de deux
46    XV|     refusent tout absolument, même lorsque, en juillet, ils remontent
47   XVI|           ÉCUMEUSE~ ~ ~ ~En avril, lorsque nous arrivent l’hirondelle
48   XVI|          contenu gazeux un souffle lorsque la pochette est immergée.~ ~ ~ ~
49   XVI|        machines soufflantes.~ ~ ~ ~Lorsque, bulle à bulle, l’enveloppe
50   XVI|         est de même nature aqueuse lorsque le siphon de la Cicadelle,
51  XVII|         les élégances du régulier. Lorsque les tours inférieurs cessent
52  XVII|           adulte, en avril et mai, lorsque l’yeuse se couvre de ramilles
53 XVIII|       groupées en troupeaux denses lorsque des points sont trouvés
54 XVIII|           en plein cependant, même lorsque l’ouvrage arrive à ses finales
55   XIX|         quelque chose d’approchant lorsque, dans ses pendeloques, à
56   XIX|     réalise cette épuration.~ ~ ~ ~Lorsque le soleil donne dans la
57    XX|         moyenne, fournissent appui lorsque les autres travaillent.~ ~ ~ ~
58    XX|          bras maintenant le rondin lorsque la filière travaille doivent
59    XX|       inclinant d’ici, puis de-là, lorsque la soie se dégorge ; l’ensemble
60    XX|             elle se refait un étui lorsque je la dénude. C’est en opposition
61    XX|          ainsi maître du fourreau, lorsque les six pattes et l’avant
62    XX| impraticable la prompte submersion lorsque la tête apeurée veut quitter
63   XXI|  solidement au point de suspension lorsque vient la nymphose. Celle
64   XXI|          qu’en de rares occasions, lorsque le papillon se fait attendre.~ ~ ~ ~
65   XXI|            s’épanchaient au dehors lorsque la recluse se mettait à
66  XXII|           les parcelles cueillies. Lorsque ces préparatifs sont jugés
67  XXII|         pleurs des neiges fondues, lorsque le fourreau sera fixé et
68  XXII|      loisir et par intermittences, lorsque le jabot est plein, se dépensent
69  XXII|      belles journées de l’automne. Lorsque les froids arrivent, le
70  XXII|       fourreau parfait, la Psyché, lorsque l’activité revient avec
71 XXIII|           agit d’atteindre. Ainsi, lorsque la captive est dans mon
72 XXIII|          sont ébahis de mon audace lorsque je la saisis des doigts
73 XXIII|           la recherche des cocons. Lorsque mai revient, je suis convenablement
74 XXIII|   lendemain, au coucher du soleil, lorsque je déménage la cloche, tous
75  XXIV|            traînaient en longueur, lorsque, vers les trois heures de
76   XXV|          que l’avenir nous réserve lorsque, mieux instruits du pourquoi
77   XXV|       pareil à celui des oisillons lorsque la mère arrive au nid avec
78   XXV|          ou à peine obstrué.~ ~ ~ ~Lorsque plus rien ne reste, il déménage,
79   XXV|   olfaction, bien loin à la ronde, lorsque moi-même je suis à l’abri
80   XXV|        soir, ou même le lendemain, lorsque se seront dissipées les
81   XXV|          notre odorat. Et ce rien, lorsque les mâles accourent, devrait
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2011. Content in this page is licensed under a Creative Commons License