Chap.

 1    II|    frigorifique convenable. C’est l’eau de mon puits, dont la température,
 2    II|            un baquet plein de cette eau fraîche. Pour maintenir
 3    II|          bout de cinq heures sous l’eau, l’insecte ne bouge encore.
 4    II|             semblable séjour dans l’eau fraîche du puits, j’essaye
 5   III|     gouttelette, limpide comme de l’eau, perle à la pointe du dard.~ ~ ~ ~
 6    IV|        reclus recevait l’ondée de l’eau renouvelée et chargée de
 7    IV|             le tumulte d’un filet d’eau l’aurait réduit à ce néant
 8     V|         hydrofuge ; immergée dans l’eau, la cellule ne laisse l’
 9    VI|         tige dans un flacon plein d’eau, et je couvre mon revêche
10  VIII|             le bout dans un verre d’eau qui maintiendra la fraîcheur.
11   XII|     définissent l’Aygues un cours d’eau. Témoin oculaire, je l’appellerais
12   XII|           flotter à la surface de l’eau les tonnelets arides qui
13   XII|         tournoyer dans une goutte d’eau. Le ver de l’Attelabe, voisin
14  XIII|           entre elles des gouttes d’eau, deux convolutent des feuilles,
15    XV|          cela me paraît clair comme eau de roche. S’ils sont issus
16   XVI|         aussitôt dans un chaudron d’eau bouillante.~ ~ ~ ~Fichtre !
17   XVI|             expier le supplice de l’eau bouillante.~ ~ ~ ~Laissons
18   XVI|         liquide ne mousse pas. De l’eau pure, venant de la fontaine,
19   XVI|            a la nette fluidité de l’eau pure. Donc la Cicadelle
20   XVI|          enfant ajoute du savon à l’eau qu’il gonflera en globes
21   XVI|      adhésif, qui se diffuse dans l’eau et la rend visqueuse, apte
22   XVI|            or. Je m’attendais à une eau de feu, caustique comme
23   XVI|           saveur manque. C’est de l’eau ou guère plus. D’un réservoir
24   XVI|             donc fait, qui laisse l’eau presque pure surgir de la
25   XVI|             une bénigne infusion, l’eau est toujours de l’eau, à
26   XVI|             l’eau est toujours de l’eau, à propriétés identiques,
27   XVI|            ramène toute sève à de l’eau claire. L’incomparable puisatier
28   XVI|            bête ne fournit pas de l’eau pure. Mise évaporer dans
29  XVII|          par la seule pression de l’eau. Un bain de température
30  XVII|            plutôt de leur ciment. L’eau ne ramollit pas, ne désagrège
31  XVII|             sable et flacon plein d’eauplongent de jeunes pousses
32 XVIII|          par un court séjour dans l’eau. Les croûtons subéreux ne
33 XVIII|             le bain dans un verre d’eau a sur-le-champ réveillées.
34   XIX|           avancer : elle s’emplit d’eau l’arrière-train, vaste entonnoir,
35   XIX|         leur habitation ; à fleur d’eau, dans les clairières du
36   XIX|           qui se passe au sein de l’eau. Disons les souvenirs que
37   XIX|             deux travers de doigt d’eau fait office de mare. Les
38   XIX|             à peine avons-nous de l’eau pour boire.~ ~ ~ ~Près de
39   XIX|             l’esplanade, un filet d’eau, origine d’une mare de quelque
40   XIX|         endroit est des meilleurs : eau peu profonde, tiède, entrecoupée
41   XIX|           en rond à la surface de l’eau, et leur échine noire reluit
42   XIX|              Regardons au fond de l’eau en écartant ces paquets
43   XIX|           roc, limpide et froide. L’eau s’amasse d’abord dans une
44   XIX|            son or.~ ~ ~ ~Le filet d’eau ruisselant du rocher tombe
45   XIX|            servir à regarder dans l’eau de misérables bêtes !~ ~ ~ ~
46   XIX|         végétation pour maintenir l’eau dans un état convenable
47   XIX|      vivifiant consommé, afin que l’eau conserve immuable richesse
48   XIX|         continuel tiré au sein de l’eau.~ ~ ~ ~La chimie nous dit :
49   XIX|            le gaz carbonique dont l’eau s’est imprégnée par la respiration
50   XIX|  partiellement se dissolvent dans l’eau et partiellement gagnent
51   XIX|       perpétuant l’hygiène dans une eau stagnante ; je regarde d’
52    XX|         exemple, ou bien ombrelle d’eau, munie à sa base d’un bouquet
53    XX|        radicules.~ ~ ~ ~Le manque d’eau et les émois de la cohue
54    XX| indéfiniment se maintenir à fleur d’eau sans autre soutien que leur
55    XX|             quels, à l’épreuve de l’eau. Formé en entier soit de
56    XX|           récents et moins gorgés d’eau, flottent très bien. La
57    XX|             étant plus lourds que l’eau ? Son secret est bientôt
58    XX|            air libre, je remets à l’eau la Phrygane. Maintenant
59    XX|        orifice postérieur à fleur d’eau. Bientôt de cet orifice
60    XX|         toujours plus lourdes que l’eau, peuvent se maintenir à
61    XX|          vide aussitôt se remplit d’eau. Ainsi se renouvelle l’eau
62    XX|          eau. Ainsi se renouvelle l’eau aérée autour des branchies,
63    XX|            rien au plus lourd que l’eau. Pour obtenir allégement,
64    XX|       fléchit, retombe et fouette l’eau. Ces coups de battoir répétés
65    XX|        reste, les bordées à fleur d’eau n’entrent guère dans les
66    XX|           ailleurs, déplacée dans l’eau, la charge est très réduite.~ ~ ~ ~
67    XX|             supérieure à celle de l’eau, à l’instant s’immerge,
68    XX|       dépasse légèrement celui de l’eau déplacée ; sinon, au fond
69    XX|         majeure du plus lourd que l’eau n’exige pas non plus discernement
70    XX|       émergent, naviguent à fleur d’eau, replongent, s’arrêtent
71  XXII|          dit. Comparable au cours d’eau qui ne gravit les pentes
72   XXV|        sachet de musc, son flacon d’eau de Cologne. Parfumé à son
73   XXV|        dissout et se diffuse dans l’eau en lui communiquant sa douceur.
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