Chap.

 1     I|      écume. La ripaille dure des heures entières. Les attablés ne
 2    II|       mes soins. Au bout de cinq heures sous l’eau, l’insecte ne
 3    II|        bouge encore. Je dis cinq heures, cinq longues heures, et
 4    II|        cinq heures, cinq longues heures, et je pourrais certainement
 5     V|      précautions.~ ~ ~ ~Quelques heures plus tard, j’examine les
 6     V|          Au bout de vingt-quatre heures, les coques ouvertes bâillent
 7  VIII|   encombrant outil qui, hors des heures du travail, se porte en
 8  VIII|         reprend. Une heure, deux heures se passent, énervantes d’
 9  VIII|       les événements.~ ~ ~ ~Deux heures s’écoulent, épuisent ma
10  VIII|       attention. Au bout de huit heures, huit interminables heures,
11  VIII|       heures, huit interminables heures, vers la tombée de la nuit,
12  VIII|          je suis volé : mes huit heures de surveillance n’ont pas
13  VIII|         en général d’une paire d’heures, parfois elle atteint ou
14  VIII|        les glands travaillés des heures et des heures dans mes volières
15  VIII|     travaillés des heures et des heures dans mes volières et non
16  VIII|         la buvette des premières heures, le vermisseau s’y engage,
17  VIII|        bon. Le foret plonge, des heures durant travaille ; puis,
18  VIII|          friandise des premières heures au régime du pain dur. Ce
19    IX|          sur sa branche quelques heures avant. Le ver serait donc
20     X|          faut avoir assisté, des heures durant, à la tension obstinée
21     X|       Deux dans les vingt-quatre heures, c’est tout pour les plus
22    XI|      bocaux, où l’on puisera aux heures jugées opportunes. Ce qui
23   XII|       nuit, vers les neuf ou dix heures, sont donnés les coups de
24   XII|      clarté d’une lampe et à des heures indues réclamées par le
25  XIII| peut-être de tromper les longues heures nécessaires à l’établissement
26    XV|        En une séance de quelques heures, elle a disparu dans une
27   XVI|          au delà de vingt-quatre heures. Cette stabilité est frappante,
28 XVIII|   rendues à la vie pour quelques heures. Il y a des efflorescences
29   XIX|       faut attendre vingt-quatre heures pour qu’elle se remplisse
30    XX|         choisira.~ ~ ~ ~Quelques heures plus tard, les émois de
31    XX|        pendant les deux ou trois heures que me prennent la pêche
32    XX|   dévorés. Dans les vingt-quatre heures, rien de vivant ne me reste
33   XXI|      maternelle. Une trentaine d’heures se passent, et l’oviducte
34   XXI|     établissement. Deux ou trois heures immobile, la pauvre délaissée
35  XXII|          déjà faite. En quelques heures, le vêtement est parachevé.
36  XXII|          Au bout de vingt-quatre heures, l’une des chenilles n’a
37  XXII|        en une séance de quelques heures, le sac de molleton est
38  XXII|     déplacement. Il lui faut des heures pour déraper et mouvoir
39 XXIII|         m’en prit. Vers les neuf heures du soir, la maisonnée se
40 XXIII|         noire, entre huit et dix heures du soir, que les papillons
41 XXIII|     ballet terminé, vers les dix heures du soir, sont partis par
42 XXIII|          recherches.~ ~ ~ ~À dix heures et demie, plus rien n’arrive.
43 XXIII|          de même. Peut-être, aux heures des rondes amoureuses, reprendront-ils
44 XXIII|        changée de place. En deux heures, je capture vingt papillons,
45 XXIII|   découvrir la désirée. Quelques heures, pendant deux ou trois soirées,
46 XXIII|      cloche, jusque vers les dix heures, les essais d’approche sans
47 XXIII|        venus voleter une paire d’heures, divers même y ont passé
48 XXIII|              Pendant une paire d’heures, par un soleil radieux,
49 XXIII|       sans bien insister. À deux heures, tout est fini. Il est venu
50 XXIII|       les ténèbres des premières heures de la nuit. Expliquera qui
51  XXIV|          lorsque, vers les trois heures de l’après-midi, par un
52  XXIV|        ont pendant plus de trois heures continué leur sarabande
53  XXIV|         Nullement. Sur les trois heures, les papillons arrivent,
54  XXIV|        elle stationne de longues heures, ensevelie dans le paquet
55  XXIV|          après une quarantaine d’heures de préparatifs. Celle du
56   XXV|          est exacte. En quelques heures, grâce aux pistes des Bolbocères,
57   XXV|        et le calme se fait. Deux heures plus tard, je les visite
58   XXV|      dans la bourse. En quelques heures d’un soleil vif, le récipient
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