Chap.

 1     V|        force de ciment, durcie en coque où sera permise la tranquille
 2   VII|     Cétoine floricole, rompant sa coque au sein du terreau dans
 3   VII|    traînant encore à l’arrière la coque de son œuf, pour première
 4    IX|  envahisseur. Le noyer compose la coque de son fruit avec deux valves
 5    IX|         franchit la lucarne de la coque en s’atténuant. Le fil métallique
 6    IX|        dérobé par l’opacité de la coque ; ce que je vois à l’extérieur
 7    IX|          la partie encore dans la coque se tarit de ses humeurs
 8    IX|         est. Le ver glisse sur la coque et se laisse choir.~ ~ ~ ~
 9    IX|        dent patiente, il perce la coque d’un petit trou par où s’
10    IX|     parvient très bien à forer la coque lorsqu’il s’agit d’établir
11    IX|         la voûte surbaissée de la coque, cette position et les virements
12    IX|    refonte de la métamorphose. La coque, il est vrai, est à la surface
13    IX|        exiguïté d’une cellule. La coque est d’ailleurs de médiocre
14    IX|      année dans la sécurité de sa coque, pour n’en sortir qu’au
15    XI|      obtenu de la sorte forme une coque assez solide, où l’insecte,
16    XI|          l’année blottis dans une coque souterraine. Les routeurs
17    XI|          cigares, j’extrais de sa coque le Rhynchite du peuplier
18    XI|    printemps, dans leur écrin, la coque souterraine. À cette époque
19   XII|     batelet, c’est-à-dire dans la coque de feuille où naît le ver.
20  XIII|       fossette à la surface d’une coque dure comme l’ivoire. L’outil
21  XIII|          la pénible besogne d’une coque perforée, d’une feuille
22  XIII|    plongeant à mi-épaisseur de la coque. Là, sur un fin matelas
23  XIII| vermisseau vient d’entrer dans la coque du fruit en pratiquant une
24   XIV|          une dizaine de jours. La coque de l’œuf, un peu ridée,
25    XV|     coffret du fruit, puis par la coque, œuvre souterraine du ver.
26    XV|           elle a disparu dans une coque solide. C’est blanc comme
27    XV|        pourquoi abandonne-t-il sa coque, où si tranquillement il
28   XVI|          enterrer pour y baver sa coque. En ce moment critique,
29  XVII|          pas, ne désagrège pas la coque. Cela doit être, sinon,
30  XVII|           émoi, il rentre dans sa coque, de longtemps ne bouge.
31  XVII|        Quand il veut restaurer sa coque, l’amplifier à sa taille,
32  XVII|          intérieur la paroi de sa coque. Réduits en pâte liante
33  XVII|       pour gagner de l’espace, la coque, tôt ou tard, manquerait
34  XVII|           raclures internes de la coque tel complément qu’il juge
35  XVII|   ramilles tendres, il sort de sa coque en l’effractionnant au bout
36 XVIII|           enveloppe son œuf d’une coque calcaire et l’embellit souvent
37 XVIII|         ou de pâle stercorale, la coque de la Clythre et du Cryptocéphale
38 XVIII|           plus haut. En avant, la coque, configurée en tonnelet
39 XVIII|    réalise : il est habillé de la coque de son œuf, amplifiée par
40 XVIII|    chemine à pas menus, traîne sa coque obliquement relevée, en
41 XVIII|           le prolongement de leur coque avec une pâte brune, pareille
42 XVIII|      nettement se distingue de la coque initiale, produit de la
43 XVIII|        terreuse, les restes de la coque de l’œuf. C’est la marque
44 XXIII|         aisément se dégageait une coque pareille de conformation