Chap.

 1   VII|              de l’histoire.~ ~ ~ ~Les fils, il est vrai, souvent nous
 2   VII|            Charançon, venaison de ses fils ? Comment s’expliquer le
 3   VII| discerne-t-elle ce qui convient à ses fils ? Je l’ignore, je l’ignorerai
 4  VIII|         contenu avant de le léguer au fils. Si le mets est reconnu
 5  VIII|               valeur, elle prépare au fils long sachet de farine.~ ~ ~ ~
 6    IX|        rencontrer deux. Le tard venu, fils de quelque mère mal renseignée,
 7    IX|             mauvaise lune. C’était un fils de la pourriture couvée
 8     X|              Ce dernier veut pour ses fils une proie tantôt morte et
 9  XIII|             gardé de conseiller à ses fils la pénible besogne d’une
10  XIII|                 s’ils sont réellement fils de leurs œuvres, n’hésitons
11   XIV|      discrétion, en leurs débuts, les fils du Tachinaire ! Jusqu’au
12    XV|             transmis fidèlement à ses fils la repoussante tunique.~ ~ ~ ~
13   XVI|               métallurgiste ambulant, fils de la Calabre, avait établi
14   XIX|             On les prendrait pour des fils de laine tels qu’on les
15    XX|           côte à côte, emmêlent leurs fils et leurs baguettes. Dans
16    XX|          amarres naturelles. Quelques fils de soie, çà et là distribués,
17   XXI|            préparer une layette à ses fils. Peut-être même de ses lèvres,
18   XXI|             du moins elle lègue à ses fils sa toison convertie en amas
19  XXII|              venue. La mère lègue aux fils son fourreau, dont les chaumes
20  XXII|               l’une à l’autre par des fils de soie. Cela forme une
21 XXIII|           nippes, petit, dis-je à mon fils ; laisse là la cage et viens
22 XXIII|               hui la télégraphie sans fils, au moyen des ondes hertziennes.
23 XXIII|              sorte de télégraphe sans fils ? À cela, je ne vois rien
24 XXIII|        analogue à la télégraphie sans fils, car le premier écran venu,
25   XXV|            inextricable labyrinthe de fils que leur tendait Spallanzani ;