Chap.

 1     V| directement. Un outil spécial, une sonde conduisant le germe au point
 2     V|           absolue nécessité. Cette sonde, l’insecte n’en possède
 3     V|     porteurs de sabre, de scie, de sonde au bout de l’abdomen.~ ~ ~ ~
 4    VI|            galerie, à l’aide de sa sonde conductrice, elle installe
 5    VI|           d’un germe. Les coups de sonde ne vont pas plus loin. Le
 6   VII|           oviducte rétractile, qui sonde, palpe, choisit les points
 7  VIII|           d’y pratiquer le trou de sonde. Le pal, à cause de sa longueur
 8  VIII|    entraîné par l’élasticité de la sonde qu’il a fallu forcer un
 9  VIII|          où le Balanin retirera la sonde, se retournera et logera
10  VIII|           le défilé qu’a ouvert la sonde de la mère, défilé bourré
11  VIII|       ponte ne suit pas le coup de sonde. À quoi bon tel effort,
12  VIII|            Balanin. Elle plonge la sonde au fond du pot, s’informe
13  VIII|          la galerie, ouvrage de la sonde maternelle. Là sont des
14  VIII|         conséquence. Si le coup de sonde devait se borner à déguster
15  VIII|           quel but ce long trou de sonde, non achevé toujours en
16  VIII|           Leucospis est doué d’une sonde qui s’insinue à travers
17  VIII|             autant peut plonger la sonde aux œufs, bec intérieur.
18  VIII|   mouvantes. Rien n’apparaît de la sonde conductrice, tant elle fonctionne
19  VIII|            à longue trompe ont une sonde intérieure, un rostre abdominal
20    IX|           préalable, sans coups de sonde explorateurs, le reclus
21  XIII|            rostre donne un coup de sonde dans une matière de faible
22   XXI|          son fourreau et plonge sa sonde dans la lucarne d’arrière,