Chap.

 1    II|       au doute ; ce qui suit l’ouvre toute grande. Le patient
 2    II|       lumineux, l’insecte entr’ouvre les élytres, dont il fait
 3   III|        déserter ; mais il nous ouvre certaines perspectives complètement
 4     V|      fonction, qui, à la fois, ouvre le passage et y guide les
 5     V|       le petit amas fané, je l’ouvre. À la base, dans une logette
 6     V|        moment propice.~ ~ ~ ~J’ouvre à demi quelques cellules
 7     V|        glandes à viscosité ? J’ouvre une larve en pleine occupation
 8    VI|   temps me permet de sortir, j’ouvre les capitules des carlines
 9   VII|        air est humide ; elle l’ouvre en superbe soleil d’écailles
10  VIII|    indéchiffrable autrement. J’ouvre la pondeuse. Ce que j’ai
11    IX|        le coffre. La fenêtre s’ouvre, ronde, un peu évasée à
12     X|    poinçon. Une petite plaie s’ouvre, assez profonde, devenue
13   XII|   pression des doigts.~ ~ ~ ~J’ouvre un tonnelet. Au centre est
14  XIII|        à mesure que la fosse s’ouvre, s’amplifie, l’excavatrice
15   XVI|        il est noyé. La poche s’ouvre, hume l’air atmosphérique,
16   XVI|           La main remonte et s’ouvre ; le sac entre-bâille ses
17   XXI|    insensiblement se gonfle, s’ouvre et laisse sourdre un amas
18  XXII|      de cisailles ; la porte s’ouvre toute seule. Lorsqu’elle
19 XXIII| métallique dans mon cabinet. J’ouvre la fenêtre de la pièce pour