Chap.

 1    IV|                     IV~ ~ LES VIEUX CHARANÇONS~ ~ ~ ~En hiver,
 2    IV|      devenu bien plus tard le vieux château, le Castelas.~ ~ ~ ~
 3    IV|  Vienne. Le majestueux ruban, vieux de vingt siècles, est toujours
 4    IV|     ma fenêtre, confident des vieux âges, m’entretient d’un
 5     X|  ampleur ; en bas, c’est trop vieux, trop coriace, trop laborieux
 6    XI|   juin, les rouleaux les plus vieux sont des masures, ne conservant
 7  XVII|     Ce procédé de rajeunir le vieux est de telle correction
 8 XVIII|     de tout ce que valent aux vieux troncs les ébauches de la
 9   XIX|     encore spectacle dont mes vieux ans ne peuvent se lasser.
10   XIX|      tels qu’on les tire d’un vieux bas défait. Quelque bergère
11   XIX|        sortent des fentes des vieux murs. Avec ses côtes noueuses,
12   XXI|     ardeur, attaquent donc le vieux fourreau, à la hâte s’habillent
13  XXII|  installer sa famille dans le vieux fourreau et lui donne à
14  XXII|     travaillent à leur habit, vieux en arrière, récent en avant
15  XXII| rencontrées. Neuf en avant et vieux en arrière, le fourreau
16 XXIII|       l’écorce, à la base des vieux amandiers. Le feuillage
17 XXIII|     moins fort rares, car les vieux amandiers, séjour de la
18   XXV|         On y trouve de tout : vieux nids de pie, en fagots de