Chap.

  1     I|          elle était en son âge de ver pansu, grosse mangeuse elle
  2     I|         en leur état larvaire. Le ver bedonnant y fourmille, trouvant
  3     I|                   Il sait que son ver fera régal de ce qu’il abhorre
  4     I|     semaines après l’éclosion, le ver a la moitié de sa grosseur
  5     I|       est-à-dire qu’en un mois le ver a digéré un volume de matière
  6     I|         nervures des feuilles. Le ver prend possession de ces
  7     I|         sol.~ ~ ~ ~En son état de ver, la Cétoine est un fabricant
  8     I|        mérite attention. C’est un ver corpulent, d’un pouce de
  9     I|      force. Laissé tranquille, le ver se déroule, se rectifie
 10     I|          une manœuvre normale, le ver n’en connaît pas d’autre.
 11     I|          arrondie de l’échine, le ver parfois chavire. L’accident
 12     I|          degrés. Au gros bout, le ver entre à l’aise ; à l’autre
 13     I|          fait sur le dos. Puis le ver pénètre dans une partie
 14     I|       haut, en bas ou de côté, le ver avance. Je vois courir,
 15     I|           canal transparent où le ver s’insinue nous dit ce qui
 16     I|        par la masse traversée, le ver déambule dans la position
 17     I|        des matériaux entourant le ver au moment de la construction,
 18     I|      délicatesses épidermiques du ver d’abord, et puis de la nymphe.
 19     I|        aggravent ici de ce que le ver de la Cétoine ne saurait
 20     I|          à coudre. Que sera-ce du ver, ne changeant plus de place
 21     I|         conséquence s’impose : le ver doit avoir d’autres ressources.~ ~ ~ ~
 22     I|        devant la vérité.~ ~ ~ ~Le ver de la Cétoine va se construire
 23     I|          ses jours d’activité, le ver a été un puissant fienteur,
 24     I|      spécialité de l’artisan : le ver de la Cétoine travaille
 25     I|           netteté parfaite. Si le ver maçonne, ce ne sera qu’avec
 26     I|        crottins. On dirait que le ver cueille autour de lui des
 27     I|     constructeur.~ ~ ~ ~Suivre le ver dans le cours entier de
 28     I|       avec réserve. Regardons. Le ver est roulé en crochet presque
 29     I| complaisances spéciales. Celui du ver des Cétoines les possède
 30     I|           provision du moment, le ver, s’incurvant de nouveau
 31     I|      secours des yeux, on voit le ver qui fiente par intervalles
 32    II|          Mais, une fois éclos, le ver est-il capable de jeûner
 33    II|           sont distants. C’est au ver de s’orienter en conséquence.
 34    II|         abord qu’il faut à chaque ver la ration d’un pois, ration
 35    II|   seraient-ils que deux. À chaque ver son pois, ni plus ni moins ;
 36    II|          l’un contre l’autre ; le ver en recherche du point d’
 37    II|      premier cas, sous la dent du ver trop chichement servi, le
 38   III|     suffit à la prospérité de son ver.~ ~ ~ ~Remarquons aussi
 39   III|        solitude, il fait œuvre de ver, œuvre unique, manger. Il
 40   III|        Voici l’artifice.~ ~ ~ ~Le ver forant le pertuis de délivrance
 41   III|          faciliter la culbute, le ver a eu soin de graver à l’
 42   III|        surface au degré voulu, le ver mettra fin au forage ; il
 43   III|          l’ennemi peut venir ; le ver n’en est pas préoccupé.~ ~ ~ ~
 44   III|       épidermique qu’a dénudée le ver du Curculionide en vue de
 45   III|          car il est à cette heure ver somnolent ou bien nymphe,
 46    IV|        haricot il n’y a jamais de ver. C’est une graine bénie,
 47    IV|           Bruche des pois. Chaque ver se creuse une loge dans
 48     V|           doute pareil à celui du ver du Balanin quittant sa noisette.
 49   VII|           la dernière, lorsque le ver aura pris des forces, ne
 50   VII|          une étroite niche que le ver émigrant s’est ménagée.
 51  XIII|          glutineux de sangsue, un ver bariolé de blanc, de rouge
 52  XIII|     brusque mouvement de tête, le ver rejette de côté la peau
 53  XIII|           la gluante reptation du ver arrache, de çà, de là, quelques
 54  XIII|         en grappes aux babines du ver. Ceux-là, encore intacts
 55  XIII|          nombreuses, avant que le ver ait trouvé à son goût. Or,
 56  XIII|           Aussi par le passage du ver reste un charnier de peaux
 57  XIII|         pucerons. En une nuit, le ver a dénudé le rameau de son
 58  XIII|          trois semaines, durée du ver.~ ~ ~ ~L’entomologie appelle
 59  XIII|        imagé, Réaumur appelait le ver lui-même le Lion des pucerons.~ ~ ~ ~
 60  XIII|       presque d’allure, l’affreux ver se fait béquille du bout
 61  XIII|           état de larve.~ ~ ~ ~Le ver d’une seconde Hémerobe dépasse
 62  XIII|       contenu. En cette fente, le ver a filé plus abondamment
 63   XIV|         Considérons, en effet, le ver suffisamment grandi. C’est
 64   XIV|       visible.~ ~ ~ ~Cependant le ver se fait gros et gras. De
 65   XIV|      éclosion. Rien ne dit que le ver de la Lucilie ne pratique
 66    XV|         Informons-nous d’abord du ver. C’est un robuste asticot,
 67    XV|    menacés de s’engorger quand le ver disparaît dans la purée
 68    XV|         son appareil à rayons, le ver de la Mouche grise nous
 69    XV|           rétrograde.~ ~ ~ ~Qu’un ver destiné à vivre dans l’obscur,
 70    XV|         mordants, l’inquiétude du ver aurait explication facile.
 71    XV|      saute aux yeux, de donner au ver la tranquillité que réclame
 72    XV|           profondeur médiocre, le ver se trouve donc convenablement
 73    XV|        épaisse pour satisfaire le ver ? Cette fois, j’ai de quoi
 74    XV|          irritante impression, le ver continue donc la descente,
 75    XV|      Alors pour mettre en émoi le ver, l’avertir de l’extérieur
 76    XV|         avait permis, est pour le ver de la Mouche grise une aberration
 77    XV|              Pour la descente, le ver a ses crochets ; pour l’
 78   XVI|         morceau de leur choix. Un ver est près de la rive, pas
 79   XVI|          attendent que l’œuvre du ver s’accomplisse. Alors, la
 80  XVII|         ses risques et périls, le ver doit se procurer le vivre
 81 XVIII|     dosées d’après les besoins du ver. L’œuf pondu, ils clôturent.
 82    XX|          de la ration dégluti, le ver achève son repas en cueillant
 83    XX|         gibbosité s’efface, et le ver, reculant un peu dans sa
 84    XX|         par lippées, à loisir, le ver puisera après déglutition
 85    XX|           le service et permet au ver de se sustenter avec quelque
 86    XX|          tentatives cependant, le ver, affaibli par ses blessures,
 87    XX|       ont-elles jugé le misérable ver indigne d’être passé par
 88    XX|           une paire de minutes le ver lardé ne bouge plus. Quant
 89    XX|            Ne pouvant déplacer le ver, elles le mangent sur place,
 90    XX|          penchent le front sur le ver éprouvé, l’auscultent des
 91   XXI|          offensée.~ ~ ~ ~Quant au ver de la Volucelle, quelques
 92   XXI|          est pas une proie que le ver de la Volucelle recherche.
 93   XXI|          y en a pas. On traite le ver de la Volucelle en ami,
 94   XXI|            le mettre en fuite. Le ver non plus ne semble guère
 95   XXI|          témoignage que voici. Le ver est plongé, la tête en bas,
 96   XXI|          n’y prend garde. Le gros ver, si reconnaissable à sa
 97   XXI|          à sa souplesse, le petit ver sort intact des tenailles
 98   XXI|          pas : elles extirpent le ver de la Saperde, le tuent,
 99   XXI|         elles laissent en paix le ver de la Volucelle.~ ~ ~ ~Les
100   XXI|       haute scélératesse. Mais le ver de la Volucelle ne se dissimule
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